mercredi 12 octobre 2016

Projet Sabrina / Hadjer – phrases 224-232

—Está en lo cierto, soy un puto loco, dijo David, incorporándose del diván. Creo que es el fin, señaló.
Ramírez retrocedió, apretó mucho más sus manos. Era un reflejo de sobrevivencia. No se acerque, gritó.
— Tranquilo, señor Ramírez, dijo David. No seré yo quien lo mate. Recuerda que mencioné que en el tercer estante del librero están los monstruos y que dije que quien busca un mal mayor lo termina por encontrar. Pues yo encontré el mío, la noche que asesiné a su hijo, dijo David con el rostro desencajado.

Traduction temporaire :
— Ce n’est pas faux, je suis un putain de cinglé, admit David en se levant du divan. Je crois qu'on arrive au bout.
Ramírez recula et serra encore plus fort les poings.
— N’approchez pas ! cria-t-il.
— Calmez-vous, Monsieur Ramírez. Je ne vous tuerai pas, moi. Souvenez-vous que sur la troisième étagère de la bibliothèque, se trouvent les monstres et que celui qui cherche un plus grand mal finit par le trouver. Eh bien moi, j’ai trouvé le mien, la nuit où j’ai assassiné votre fils, affirma David, le visage décomposé.

4 commentaires:

Sabrina a dit…

— Ce n’est pas faux, je suis un putain de cinglé, admit David en se levant du divan. Je crois que c’est la fin, indiqua-t-il.
Ramírez recula et serra beaucoup plus fort les poings.
— N’approchez pas, cria-t-il.
— Calmez-vous, monsieur Ramírez, le rassura-t-il. Ce n’est pas moi qui vous tuerai. Vous vous souvenez que j’ai signalé que sur la troisième étagère de la bibliothèque, figurent les monstres et que j’ai déclaré que celui qui cherche un plus grand mal finit par le trouver. Eh bien moi, j’ai trouvé le mien, la nuit où j’ai assassiné votre fils, affirma David, le visage décomposé.

Tradabordo a dit…

— Ce n’est pas faux, je suis un putain de cinglé, admit David en se levant du divan. Je crois que c’est [tu as déjà « ce n'est » dans la phrase d'avant / n'oublie pas le pb que pose « c'est » et ses dérivés] la fin, indiqua-t-il [nécessaire ?].
Ramírez recula et serra beaucoup [« encore » ?] plus fort les poings.
— N’approchez pas, [point d'exclamation] cria-t-il.
— Calmez-vous, monsieur [maj ?] Ramírez, le rassura-t-il [nécessaire ?]. Ce n’est [X3 rien que dans ces quelques lignes] pas moi qui vous tuerai. Vous vous souvenez que j’ai signalé que sur la troisième étagère de la bibliothèque, figurent les monstres [ce début n'est vraiment pas génial…]



et que j’ai déclaré que celui qui cherche un plus grand mal finit par le trouver. Eh bien moi, j’ai trouvé le mien, la nuit où j’ai assassiné votre fils, affirma David, le visage décomposé.

Sabrina a dit…

Oui pour "encore", c'est mieux, merci :)
Je reprends tous les "c'est" ;)

— Ce n’est pas faux, je suis un putain de cinglé, admit David en se levant du divan. Je crois qu'on arrive au bout.
Ramírez recula et serra encore plus fort les poings.
— N’approchez pas ! cria-t-il.
— Calmez-vous, Monsieur Ramírez. Je ne vous tuerai pas, moi. Souvenez-vous que sur la troisième étagère de la bibliothèque, se trouvent les monstres et que celui qui cherche un plus grand mal finit par le trouver. Eh bien moi, j’ai trouvé le mien, la nuit où j’ai assassiné votre fils, affirma David, le visage décomposé.

Tradabordo a dit…

— Ce n’est pas faux, je suis un putain de cinglé, admit David en se levant du divan. Je crois qu'on arrive au bout.
Ramírez recula et serra encore plus fort les poings.
— N’approchez pas ! cria-t-il.
— Calmez-vous, Monsieur Ramírez. Je ne vous tuerai pas, moi. Souvenez-vous que sur la troisième étagère de la bibliothèque, se trouvent les monstres et que celui qui cherche un plus grand mal finit par le trouver. Eh bien moi, j’ai trouvé le mien, la nuit où j’ai assassiné votre fils, affirma David, le visage décomposé.

OK.