lundi 3 octobre 2016

Projet Sabrina / Hadjer – phrases 211-215

Me coloqué por detrás de la cabeza de su hijo, quien miraba distraído el libro, y ágilmente coloqué un estilete en su boca y lo corté de un tajo. Pronto la sangre brotó y su hijo empezó a chocar contra todas las cosas como un carro desbocado. Sollozaba, seguramente de dolor. Intentó pelear, pero cada vez que se acercaba le cortaba alguna parte de su cuerpo, hasta dejarlo como un colador. Sin fuerzas para seguir peleando cayó de rodillas cerca del diván, tomé su cabeza y metí nuevamente el estilete en su boca, quería dibujarle una sonrisa, tal como el payaso de Denbrough lo hacía en su novela. Luego corté su cuello y lo dejé desangrarse como un cerdo después de la faena.

Traduction temporaire :
Je me suis placé derrière la tête de votre fils. Distrait, il regardait le livre. J’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Immédiatement, le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, sans doute à cause de la douleur. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Je me suis placé derrière la tête de votre fils qui, distrait, regardait le livre, et j’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Rapidement, le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, de douleur bien certainement. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

Tradabordo a dit…

Je me suis placé derrière la tête de votre fils qui, [point ?] distrait, [« il » ?] regardait le livre, [point ?] et j’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Rapidement [« immédiatement » ?], le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, de douleur bien certainement [mal dit]. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

Sabrina a dit…

C'est vrai que la phrase est un peu longue donc ok pour les points.
Je vérifierai à la relecture, mais je crois que précédemment, j'ai mis "immédiatement". Ok pour le mettre là et je remettrai "rapidement"si je l'ai déjà utilisé.

Je me suis placé derrière la tête de votre fils. Distrait, il regardait le livre. J’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Immédiatement, le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, sans doute de douleur. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

Tradabordo a dit…

Je me suis placé derrière la tête de votre fils. Distrait, il regardait [« feuilletait » ? Comme tu veux] le livre. J’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Immédiatement, le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, sans doute [cheville : « à cause » ?] de douleur. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

Sabrina a dit…

Je ne suis pas sûre qu'il le feuilletait car dans l'extrait précédent, il caressait la couverture. Donc peut-être continuait-il à simplement regarder le livre.

Ok pour la cheville, merci :)

Je me suis placé derrière la tête de votre fils. Distrait, il regardait le livre. J’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Immédiatement, le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, sans doute à cause de la douleur. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

Tradabordo a dit…

Je me suis placé derrière la tête de votre fils. Distrait, il regardait le livre. J’ai habilement introduit un coupe-papier dans sa bouche et l’ai fendue d’un coup. Immédiatement, le sang a jailli et votre fils s’est mis à se cogner partout, telle une voiture qui aurait perdu le contrôle. Il sanglotait, sans doute à cause de la douleur. Il a essayé de se battre, mais à chaque fois qu’il s’approchait, j’entaillais une partie de son corps, jusqu’à le transformer en passoire. Il n’avait plus de forces pour continuer à lutter et est tombé à genoux, près du divan. J’ai attrapé sa tête et ai de nouveau enfoncé le coupe-papier dans sa bouche. Je voulais lui dessiner un sourire, à l’instar du clown dans le roman de Denbrough. Je lui ai ensuite tranché la gorge et l’ai laissé se vider de son sang, comme un cochon après l’estocade.

OK.