samedi 21 février 2015

Projet Sabrina 3 – phrases 73-74

No sé si fue el ardor de mi deseo o la voluntad del niño lo que aceleró el encuentro, lo cierto es que no habían pasado muchas horas cuando la puerta volvió a abrirse y su sombra primero, su imagen después, penetró en la estancia llenándola con su sonrisa y mi arrobamiento. Por un instante nos quedamos extasiados mirándonos recíprocamente, un instante que el recuerdo me devuelve distendido hasta el infinito con el aliento suspenso del asombro que descubre la mutua e irresistible atracción.

Traduction temporaire :
Je ne sais pas si ce qui accéléra la rencontre fut imputable à la force de mon désir ou la volonté de l'enfant ; toujours est-il qu'après quelques heures à peine, la porte se rouvrit et que son ombre d'abord, son image ensuite, pénétra dans la pièce, la remplissant de son sourire et de mon bonheur. Durant un instant, nous restâmes émerveillés, nous dévisageant réciproquement ; un instant que le souvenir me rend distendu à l'infini, tant l'étonnement qui découvre l'irrésistible attraction mutuelle me tenait en haleine.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Je ne sais si ce fut la force de mon désir ou la volonté de l'enfant qui accéléra la rencontre ; en tout cas, peu d'heures s'étaient écoulées lorsque la porte se rouvrit et que son ombre d'abord, son image ensuite, pénétra dans la pièce, la remplissant de son sourire et de mon bonheur. Durant un instant, nous restâmes émerveillés, nous dévisageant réciproquement ; un instant que le souvenir me rend distendu à l'infini, tant l'étonnement qui découvre l'irrésistible attraction mutuelle me tenait en haleine.

Tradabordo a dit…

Je ne sais si ce fut [en passant par : « à mettre sur le compte de » ?] la force de mon désir ou la volonté de l'enfant qui accéléra la rencontre ; en tout cas [avec « toujours est-il » ?], peu d'heures s'étaient écoulées [avec : « quelques heures à peine » ?] lorsque la porte se rouvrit et que son ombre d'abord, son image ensuite, pénétra dans la pièce, la remplissant de son sourire et de mon bonheur.

Bon, je te laisse déjà reprendre ça… car si tu adoptes, ça risque de pas mal modifier l'ensemble.

Durant un instant, nous restâmes émerveillés, nous dévisageant réciproquement ; un instant que le souvenir me rend distendu à l'infini, tant l'étonnement qui découvre l'irrésistible attraction mutuelle me tenait en haleine.

Sabrina a dit…

C'est peut-être un peu lourd avec "à mettre sur le compte de"... Mais peut-être est-ce aussi ma phrase qui est mal tournée ;)!
J'adore le "toujours est-il", merci :).

Je ne sais pas si ce qui accéléra la rencontre fut à mettre sur le compte de la force de mon désir ou la volonté de l'enfant ; toujours est-il qu'après quelques heures à peine, la porte se rouvrit et que son ombre d'abord, son image ensuite, pénétra dans la pièce, la remplissant de son sourire et de mon bonheur. Durant un instant, nous restâmes émerveillés, nous dévisageant réciproquement ; un instant que le souvenir me rend distendu à l'infini, tant l'étonnement qui découvre l'irrésistible attraction mutuelle me tenait en haleine.

Tradabordo a dit…

« imputable » ?

Sabrina a dit…

Ah oui, "imputable", c'est plus léger, j'aime, merci :).

Je ne sais pas si ce qui accéléra la rencontre fut imputable à la force de mon désir ou la volonté de l'enfant ; toujours est-il qu'après quelques heures à peine, la porte se rouvrit et que son ombre d'abord, son image ensuite, pénétra dans la pièce, la remplissant de son sourire et de mon bonheur. Durant un instant, nous restâmes émerveillés, nous dévisageant réciproquement ; un instant que le souvenir me rend distendu à l'infini, tant l'étonnement qui découvre l'irrésistible attraction mutuelle me tenait en haleine.

Tradabordo a dit…

Je ne sais pas si ce qui accéléra la rencontre fut imputable à la force de mon désir ou la volonté de l'enfant ; toujours est-il qu'après quelques heures à peine, la porte se rouvrit et que son ombre d'abord, son image ensuite, pénétra dans la pièce, la remplissant de son sourire et de mon bonheur. Durant un instant, nous restâmes émerveillés, nous dévisageant réciproquement ; un instant que le souvenir me rend distendu à l'infini, tant l'étonnement qui découvre l'irrésistible attraction mutuelle me tenait en haleine.

OK.