mercredi 25 février 2015

Projet Sarah 19 – phrases 33-34

Cuestión que el turquito de los Jarma dice que él salió afuera porque sintió la bulla que hacían las gallinas, y pensó que una comadreja estaba dándose una panzada con sus huevos. Salió con la escopeta, el hijo de los Jarma, viera qué atorrante, papá, salir con una escopeta por unos pocos huevos que pierde, y capaz que mata a una persona, pero ellos son así, qué se le va a hacer, parece que no se puede hacer nada con cómo son ellos, tienen el espíritu violento.

Traduction temporaire :
Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être sorti parce qu'il a entendu le raffut des poules, pensant qu'une belette était en train de se remplir la panse avec leurs œufs. Il avait un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, prendre une arme pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, prêt à tuer quelqu'un ; mais ces gens-là sont ainsi, que va-t-on y faire, il semblerait qu'on ne puisse pas les changer, ils sont de nature violente.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être allé dehors parce qu'il a entendu le raffut que faisaient les poules, et a pensé qu'une belette était en train de se rassasier de leurs œufs. Il est sorti muni d'un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, s'armer d'un fusil pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, capable de tuer quelqu'un ; mais ils sont ainsi, que va-t-on y faire, il semblerait qu'on ne puisse rien face à leur nature, ils sont dans un état d'esprit de violence.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être allé dehors [ou simplement « sorti » ?] parce qu'il a entendu le raffut que faisaient les poules, et a pensé [« pensant » ?] qu'une belette était en train de se rassasier [mal dit ici] de leurs œufs. Il est sorti [« était », simplement ?] muni d'un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, s'armer d'un fusil pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, capable de tuer quelqu'un ;

La fin manque un peu de clarté. Je comprends bien que c'est le naturel de la parole du personnage, mais quand même.

mais ils sont ainsi, que va-t-on y faire, il semblerait qu'on ne puisse rien face à leur nature, ils sont dans un état d'esprit de violence.

Unknown a dit…

Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être sorti parce qu'il a entendu le raffut que faisaient les poules, pensant qu'une belette était en train de faire un festin de leurs œufs. Il était muni d'un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, s'armer d'un fusil pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, capable de tuer quelqu'un ; mais ces gens-là sont ainsi, que peut-t-on y faire, il semblerait qu'on ne puisse pas les changer, ils sont de nature violente.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être sorti parce qu'il a entendu le raffut que faisaient les poules, pensant qu'une belette était en train de faire [tu viens juste de mettre un « faire »] un festin de leurs œufs. Il était muni [pas très naturel] d'un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, s'armer d'un fusil [naturel ? + un moyen d'éviter la répétition ?] pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, capable de [« prêt à » ?] tuer quelqu'un ; mais ces gens-là sont ainsi, que peut-t-on y faire [X 3 dans ce seul fragment ; tu te prépares des lectures difficiles ;-)], il semblerait qu'on ne puisse pas les changer, ils sont de nature violente.

Unknown a dit…

Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être sorti parce qu'il a entendu le raffut des poules, pensant qu'une belette était en train de se remplir la panse avec leurs œufs. Il avait un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, prendre une arme pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, prêt à tuer quelqu'un ; mais ces gens-là sont ainsi, que va-t-on y faire, il semblerait qu'on ne puisse pas les changer, ils sont de nature violente.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le vendeur de babioles des Jarma affirme être sorti parce qu'il a entendu le raffut des poules, pensant qu'une belette était en train de se remplir la panse avec leurs œufs. Il avait un fusil, le fils Jarma, voyez comme il est feignant, papa, prendre une arme pour quelques malheureux œufs qu'il pourrait perdre, prêt à tuer quelqu'un ; mais ces gens-là sont ainsi, que va-t-on y faire, il semblerait qu'on ne puisse pas les changer, ils sont de nature violente.

OK.