mercredi 1 avril 2015

Projet Caroline 2 – phrases 257-261

Nadie lo sabe, excepto tú, ahora. Nunca me gustaron las despedidas. Durante los últimos años he estado escribiendo un libro que quiero que leas. Es algo así como un diario de mis memorias. Sabes dónde encontrarlo.
Si supieras cuánto echo de menos todos los momentos que pasamos juntos —confesó Mammón, sabiendo que se trataba de un adiós definitivo.

Traduction temporaire :

— Non, personne ne l'est. À part toi, maintenant. Je n'ai jamais aimé les adieux. Ces dernières années, j'ai écrit un livre. Je veux que tu le lises. Ce sont en quelque sorte mes mémoires. Tu sais où le trouver.
— Tu ne peux pas imaginer combien tous les moments que nous avons partagés vont me manquer, avoua Mammón, conscient qu'il s'agissait d'un adieu définitif.

4 commentaires:

Caroline a dit…

— Non, personne ne l'est. À part toi, maintenant. Je n'ai jamais aimé les adieux. Ces dernières années, j'ai écrit un livre ; je veux que tu le lises. C'est en quelque sorte le journal de mes mémoires. Tu sais où le trouver.
— Si tu savais combien tous les moments que nous avons passé ensemble vont me manquer, avoua Mammón, conscient qu'il s'agissait d'un adieu définitif.

Tradabordo a dit…

— Non, personne ne l'est. À part toi, maintenant. Je n'ai jamais aimé les adieux. Ces dernières années, j'ai écrit un livre ; [point // plutôt pas de : et de ; dans les dialogues] je veux que tu le lises. C'est en quelque sorte le journal de [supprimez ; « mémoires » tout seul suffira] mes mémoires. Tu sais où le trouver.
— Si tu savais [essayez de ne pas répéter « savoir »] combien tous les moments que nous avons passé ensemble [« partagés » ?] vont me manquer, avoua Mammón, conscient qu'il s'agissait d'un adieu définitif.

Caroline a dit…

— Non, personne ne l'est. À part toi, maintenant. Je n'ai jamais aimé les adieux. Ces dernières années, j'ai écrit un livre. Je veux que tu le lises. Ce sont en quelque sorte mes mémoires. Tu sais où le trouver.
— Tu ne peux pas imaginer combien tous les moments que nous avons partagés vont me manquer, avoua Mammón, conscient qu'il s'agissait d'un adieu définitif.

Tradabordo a dit…

— Non, personne ne l'est. À part toi, maintenant. Je n'ai jamais aimé les adieux. Ces dernières années, j'ai écrit un livre. Je veux que tu le lises. Ce sont en quelque sorte mes mémoires. Tu sais où le trouver.
— Tu ne peux pas imaginer combien tous les moments que nous avons partagés vont me manquer, avoua Mammón, conscient qu'il s'agissait d'un adieu définitif.

OK.