mercredi 1 avril 2015

Projet Marine / Céleste – phrases 85-91


Me he vendado lo ojos y he taponado mis oídos. Dando tumbos he salido a caminar por la ciudad. Cruzo la Plaza Santa Cruz. Un coche me roza en la calle Librería. En Duque de Lerma la gente murmura algo, seguro dirán que estoy loco. Llego a la calle del Paraíso y percibo que alguien se me acerca con sus efluvios de perfume Lacoste. Es Gustavo Martín Garzo. Gustavo, el escritor, me enlaza un brazo con la sana intención de ayudarme. Pero a él le interesa más hablarme de El lenguaje de las fuentes. Me da la impresión de querer confundirme con la Marea oculta.

Traduction temporaire :
Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la Calle Librería. Au Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent sûrement que je suis fou. J'arrive dans la Calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche de moi avec ses effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me prend par le bras avec la saine intention de m'aider. Mais il préfère me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. Je suis sorti, en vacillant, marcher en ville. Je traverse la place Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la rue Librería. Chez le duc de Lerma, les gens murmurent quelque chose, je suis sûr qu'ils diront que je suis fou. J'arrive dans la rue du Paradis et j’aperçois que quelqu'un m'approche avec des effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me serre dans ses bras avec la saine attention de m'aider. Mais il préfère plus me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marée occulte.

Tradabordo a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. Je suis sorti, en vacillant, marcher en ville [pb de syntaxe]. Je traverse la place [laissez en V.O. ; idem pour les autres ; je vous laisse remettre] Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la rue Librería. Chez le duc de Lerma [nom d'un établissement ?], les gens murmurent quelque chose, je suis sûr qu'ils diront [temps / CS] que je suis fou. J'arrive dans la rue du Paradis et j’aperçois que [mal dit] quelqu'un m'approche avec des effluves de parfum Lacoste.



C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me serre dans ses bras avec la saine attention de m'aider. Mais il préfère plus me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marée occulte.

Unknown a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. Je suis sorti, en vacillant, marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la rue Librería. Au Duque de Lerma , les gens murmurent quelque chose, je suis sûr qu'ils disent que je suis fou. J'arrive dans la calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un approche avec des effluves de parfum Lacoste.



C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me serre dans ses bras avec la saine attention de m'aider. Mais il préfère plus me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

Tradabordo a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. Je suis sorti, en vacillant, marcher dans la ville [f mon commentaire précédent sur cette phrase].


Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la rue Librería. Au Duque de Lerma , les gens murmurent quelque chose, je suis sûr qu'ils disent que je suis fou. J'arrive dans la calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un approche avec des effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me serre dans ses bras avec la saine attention de m'aider. Mais il préfère plus me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

Mohammed a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti afin de marcher dans la ville.


Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la rue Librería. Au Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent surement que je suis fou. J'arrive dans la calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche avec des effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me serre dans ses bras avec la saine attention de m'aider. Mais il préfère plus me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

Tradabordo a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti afin de [un simple « pour » ou carrément rien ? Essayez et voyez ce qui est mieux…] marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la rue [ne traduisez pas] Librería. Au [de quoi s'agit-il ? Vous avez regardé si ça existe ?] Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent surement [accent] que je suis fou. J'arrive dans la calle [majuscule puisqu'on ne traduit pas] del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche avec des [possessif, comme en V.O. ? J'hésite] effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me serre dans ses bras [pas ce que dit la V.O.] avec la saine attention [?] de m'aider. Mais il préfère plus me parler de [un peu du charabia ;-)] l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

Mohammed a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la Calle Librería. Au Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent sûrement que je suis fou. J'arrive dans la Calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche avec ses effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, m'enlace avec la saine intention de m'aider. Mais il préfère me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

(Pour le Duque de Lerma j'ai trouvé que c'était une personne. Sinon quelques lieux existent et portent ce nom.)

Tradabordo a dit…

Oui, oui, je sais bien… qu'il s'agit d'un personnage important de l'histoire espagnole ; ma question portait sur l'utilisation dans le texte, un bar, etc.

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la Calle Librería. Au [Regardez quand même s'il y a quelque chose qui porte ce nom à côté de la Calle Librería ; la question, c'est : « au » ou « à » ?] Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent sûrement que je suis fou. J'arrive dans la Calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche [manque quelque chose ; pour rappel, la V.O. : « se ME acerca »] avec ses effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, m'enlace [non ; le plus important ici, c'est « un brazo »] avec la saine intention de m'aider. Mais il préfère me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

Mohammed a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la Calle Librería. Au [es un edificio] Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent sûrement que je suis fou. J'arrive dans la Calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche de moi avec ses effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me prend par le bras avec la saine intention de m'aider. Mais il préfère me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

Tradabordo a dit…

Je me suis bandé les yeux et bouché les oreilles. En vacillant, je suis sorti marcher dans la ville. Je traverse la Plaza Santa Cruz. Une voiture me frôle dans la Calle Librería. Au Duque de Lerma, les gens murmurent quelque chose, ils disent sûrement que je suis fou. J'arrive dans la Calle del Paraíso et je m’aperçois que quelqu'un s'approche de moi avec ses effluves de parfum Lacoste. C'est Gustavo Martín Garzo. Gustavo, l'écrivain, me prend par le bras avec la saine intention de m'aider. Mais il préfère me parler de l’œuvre El lenguaje de las fuentes. Il me donne l'impression de vouloir m'embrouiller avec la Marea oculta.

OK.

Marine ?

Unknown a dit…

OK pour moi!
Désolée du retard.