samedi 11 avril 2015

Projet Annelise 2 – phrases 169-176

Ella da la vuelta, la madre. Claudette se sienta sobre el mueble más grande, lleva sus manos al rostro y lo tapa. Me acerco y me siento a su lado. La abrazo. Ella se deja caer sobre mis brazos y empieza a sollozar. Llora quizás lo que no ha llorado en todos estos días, es una niña en mis brazos, me contagia el llanto y hago lo mismo. Ambos lloramos por el hijo, por el amigo que era mi hermano. Echo de menos a Didier, lo sé, lo siento y no puedo más.

Traduction temporaire :
La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus grand meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure ce qu'elle n'a pas pleuré pendant tout ce temps. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et les larmes me gagnent. Ensemble, nous pleurons sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assoit sur le meuble plus haut qu'elle, porte ses mains à son visage et le recouvre. Je m'approche et m'assois auprès d'elle. Je l'étreints. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure ce qu'elle n'a pas pleuré ces jours-ci, elle est comme une enfant dans mes bras, ses pleurs me touchent et je fais pareil. Nous pleurons tous les deux pour le fils, pour l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Tradabordo a dit…

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assoit [« s'assied »] sur le meuble plus haut qu'elle [est-ce ce que dit la V.O. ?], porte ses mains à son visage et le recouvre [ou « cache » ? J'hésite…]. Je m'approche et m'assois [« m'installe », pour ne pas répéter ? Comme tu veux…] auprès d'elle. Je l'étreints [grammaire]. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure ce qu'elle n'a pas pleuré ces jours-ci [pas exactement le sens], [point ?] elle est comme une enfant dans mes bras, [point ?] ses pleurs me touchent et je fais pareil [assez clair ?]. Nous pleurons tous les deux pour [« sur » ?] le fils, pour [idem ?] l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Anonyme a dit…

Annelise L

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus haut meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure tout ce ce qu'elle n'a pas pleuré durant ces derniers jours. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et je m'y mets aussi. Nous pleurons tous les deux sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Tradabordo a dit…

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus haut [FS ?] meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber [« aller » ?] dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure tout ce ce qu'elle n'a pas pleuré durant ces derniers [« sûre » ?] jours. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et je m'y mets [on comprend ?] aussi. Nous pleurons tous les deux sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Anonyme a dit…

Annelise L

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus grand meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure tout ce ce qu'elle n'a pas pleuré pendant tout ce temps. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et les larmes me gagnent aussi. Nous pleurons tous les deux sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Tradabordo a dit…

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus grand meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure tout ce ce [doublon] qu'elle n'a pas pleuré pendant tout [tu en as un juste avant] ce temps. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et les larmes me gagnent aussi [supprime]. Nous pleurons tous [X 3] les deux sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Anonyme a dit…

Annelise L

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus grand meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure ce qu'elle n'a pas pleuré pendant tout ce temps. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et les larmes me gagnent. Ensemble, nous pleurons sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

Tradabordo a dit…

La mère, elle, se retourne. Claudette s'assied sur le plus grand meuble, porte ses mains à son visage et le cache. Je m'approche et m'installe auprès d'elle. Je l'étreins. Elle se laisse tomber dans mes bras et commence à sangloter. Peut-être qu'elle pleure ce qu'elle n'a pas pleuré pendant tout ce temps. Elle est comme une enfant dans mes bras. Ses pleurs m'émeuvent et les larmes me gagnent. Ensemble, nous pleurons sur le fils, sur l'ami qui était mon frère. Didier me manque, je le sais, je le ressens et je n'en peux plus.

OK.