lundi 13 avril 2015

Projet Éléonore / Johanna – phrases 110-113

No tiene tiempo para felicitarse a sí misma: concretar su plan maestro es lo primordial, y tiene que hacerlo cómo lo ha planificado, sin errores. Julio sigue no habido. ¿Adónde se ha ido? ¿Por qué se fue? Sus manos se hincan con las espinas que brotan de la tuna, las cuales además vuelan y se incrustan en sus piernas y rostro, produciendo una leve pero molesta irritación.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

8 commentaires:

Eléonore Renaud a dit…

Elle n'a pas le temps de se feliciter : concrétiser son plan parfait est primordial, et elle doit le faire comme elle l'a planifié, sans erreurs. Julio n'est toujours pas là. Où est-il parti ? Pourquoi est-il parti ? Ses mains se plantent dans les épines qui jaillissent de la figue, lesquelles, en plus de ça, volent et s'incrustent dans ses jambes et sur son visage, produisant une irritation légère mais gênante.

Tradabordo a dit…

Elle n'a pas le temps de se feliciter [accent ; mais pourquoi pas « réjouir » ?] : concrétiser son plan parfait [sûre ?] est primordial, et elle doit le faire [il y a un verbe mieux ici] comme elle l'a planifié, sans erreurs. Julio n'est toujours pas là. Où est-il parti ? Pourquoi est-il parti ? Ses mains se plantent [je ne trouve pas cela très naturel ? Le dirait-on ainsi ?] dans les épines qui jaillissent de la figue, lesquelles, en plus de ça, volent et s'incrustent dans ses jambes et sur son visage, produisant une irritation légère mais gênante.

Eléonore Renaud a dit…

Elle n'a pas le temps de se réjouir : concrétiser son plan parfait [sûre ? Oui, c'est le titre que l'on a donné au texte...] est primordial, et elle doit l'éxecuter comme elle l'a planifié, sans erreurs. Julio n'est toujours pas là. Où est-il parti ? Pourquoi est-il parti ? Ses mains se piquent dans les épines qui jaillissent de la figue, lequelles, en plus de ça, volent et s'incrustent dans ses jambes et sur son visage, produisant une irritation légère mais gênante.

Tradabordo a dit…

Elle n'a pas le temps de se réjouir : concrétiser son plan parfait est primordial, et elle doit l'éxecuter [orthographe ?] comme elle l'a planifié, sans erreurs. Julio n'est toujours pas là. Où est-il parti ? Pourquoi est-il parti ? Ses mains se piquent dans les épines qui jaillissent de [« hérissent »] la figue, lequelles [orthographe], en plus de ça, volent et s'incrustent dans ses jambes et sur son visage, produisant une irritation légère [VIRGULE !] mais gênante.

Eléonore Renaud a dit…

Elle n'a pas le temps de se réjouir : concrétiser son plan parfait est primordial, et elle doit l’exécuter comme elle l'a planifié, sans erreurs. Julio n'est toujours pas là. Où est-il parti ? Pourquoi est-il parti ? Ses mains se piquent dans les épines qui hérissent de la figue, lesquelles, en plus de ça, volent et s'incrustent dans ses jambes et sur son visage, produisant une irritation légère, mais gênante.

Tradabordo a dit…

Elle n'a pas le temps de se réjouir : concrétiser son plan parfait est primordial, et elle doit l’exécuter comme elle l'a planifié, sans erreurs. Julio n'est toujours pas là. Où est-il parti ? Pourquoi est-il parti ? Ses mains se piquent dans les épines qui hérissent de la figue, lesquelles, en plus de ça, volent et s'incrustent dans ses jambes et sur son visage, produisant une irritation légère, mais gênante.

OK.

Johanna ?

Johanna Delorme a dit…

ok

Tradabordo a dit…

Johanna, laissez tomber les validations… Allez à la dernière phrase en cours.