lundi 13 avril 2015

Projet Émilie 8 – phrases 123-128

Llamé, llamé en vano. Penetré hasta los aposentos famularios. La servidumbre se había ido. Envueltas las piernas en un cobertor de viso, acorazándome espaldas y cabeza con una bañera de metal que me aplastaba horriblemente, pude llegar hasta las caballerizas. Los caballos habían desaparecido también. Y con una tranquilidad que hacía honor a mis nervios, me di cuenta de que estaba perdido.

Traduction temporaire :
J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai jusque dans les quartiers de la domesticité. Les serviteurs étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins à gagner les écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

6 commentaires:

Emilie a dit…

J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai même dans les chambres des serviteurs. Ils étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins jusqu’aux écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

Tradabordo a dit…

J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai même [« jusque » ?] dans les chambres [ou « quartiers » ? Comme tu veux…] des serviteurs [« de la domesticité » ?]. Ils étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins jusqu’aux [« je parvins à gagner les » ?] écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

Emilie a dit…

J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai jusque quartiers de la domesticité. Les serviteurs étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins à gagner les écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

Tradabordo a dit…

J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai jusque [« dans les »] quartiers de la domesticité. Les serviteurs étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins à gagner les écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

Emilie a dit…

J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai jusque dans les quartiers de la domesticité. Les serviteurs étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins à gagner les écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

Tradabordo a dit…

J’appelai, j’appelai en vain. J’entrai jusque dans les quartiers de la domesticité. Les serviteurs étaient partis. Les jambes enroulées dans un luxueux couvre-lit, protégeant mon dos et ma tête sous une baignoire en métal qui m’écrasait de tout son poids, je parvins à gagner les écuries. Les chevaux aussi avaient disparu. Avec une tranquillité qui faisait honneur à mes nerfs, je compris que j’étais perdu.

OK.