vendredi 3 avril 2015

Projet Loïck 9 – phrases 25-27

El instinto de defensa, o, más bien, el miedo, me dió cierta feroci­dad. Me arrojé sobre el desconocido, empujándolo con codos y rodi­llas; perdió el equilibrio; se agarró desesperadamente al borde de la portezuela, y yo segui empujándole, pugnando por arrancar sus crispa­das manos de aquel asidero para anoj arlo a la via. Todas las ventajas estaban de mi parte.

Traduction temporaire :
L'instinct de survie, ou plutôt la peur, m'a donné une certaine férocité. Je me suis jeté sur l'inconnu, le bousculant avec mes coudes et mes genoux ; il a perdu l'équilibre, s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et j'ai continué de le pousser, luttant pour lui faire lâcher prise et le jeter sur la voie. Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

6 commentaires:

Loïck Ths a dit…

L'instinct de survie, ou, plutôt, la peur, m'a donné une certaine animosité. Je me suis lancé sur l'inconnu, le poussant avec mes coudes et mes genoux, il a perdu l'équilibre ; il s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et moi j'ai continué de le pousser, me battant pour enlever ses mains crispées de sa prise afin de (anojarlo???). Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

Tradabordo a dit…

L'instinct de survie, ou, plutôt, la peur, m'a donné une certaine animosité [pourquoi vous changez ?]. Je me suis lancé [« jeté »] sur l'inconnu, le poussant avec mes coudes et mes genoux, [remettez le point-virgule de la V.O.] il a perdu l'équilibre ; il s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et moi [nécessaire ?] j'ai continué de le pousser, me battant [« luttant » ?] pour enlever ses mains crispées de sa prise [bizarrement formulé, non ?] afin de (anojarlo??? [ah oui… Regardez sur internet si vous trouver une version du texte en V.O. pour comparer]). Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

Loïck Ths a dit…

L'instinct de survie, ou, plutôt, la peur, m'a donné une certaine férocité. Je me suis jeté sur l'inconnu, le poussant avec mes coudes et mes genoux ; il a perdu l'équilibre, s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et j'ai continué de le pousser, luttant pour "lui faire lâcher prise"[que pensez-vous de cette solution?] et le jeter sur la voie. Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

Tradabordo a dit…

L'instinct de survie, ou, plutôt, la peur, m'a donné une certaine férocité. Je me suis jeté sur l'inconnu, le poussant avec mes coudes et mes genoux ; il a perdu l'équilibre, s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et j'ai continué de le pousser [un moyen de ne pas répéter « pousser » – en changeant celui-ci ou le premier ?], luttant pour "lui faire lâcher prise"[que pensez-vous de cette solution? PARFAIT] et le jeter sur la voie. Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

Loïck Ths a dit…

L'instinct de survie, ou, plutôt, la peur, m'a donné une certaine férocité. Je me suis jeté sur l'inconnu, le bousculant avec mes coudes et mes genoux ; il a perdu l'équilibre, s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et j'ai continué de le pousser, luttant pour lui faire lâcher prise et le jeter sur la voie. Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

Tradabordo a dit…

L'instinct de survie, ou plutôt la peur, m'a donné une certaine férocité. Je me suis jeté sur l'inconnu, le bousculant avec mes coudes et mes genoux ; il a perdu l'équilibre, s'est agrippé désespérément au bord de la petite porte, et j'ai continué de le pousser, luttant pour lui faire lâcher prise et le jeter sur la voie. Toutes les fenêtres étaient de mon côté.

OK.