lundi 10 octobre 2016

Projet Justine / Yasmina – phrases 119-127

- Pues me gusta cocinar anticuchos y soy muy desordenado. Ahora amigo es momento que me dejes en soledad, espero haberte servido bien. “Hasta la vista baby”.
Me despedí más confundido que nunca y baje corriendo las escaleras hasta llegar a la calle y andaba tan distraído, que no me di cuenta de las inmensas tortas de estiércol, que estaban esparcidas en la vereda embarrándome ambos zapatos. Pero estaba tan abrumado que lo tome como una buena señal.
-“Dicen que esto es buena suerte”.
Decidí no limpiarme el regalo del destino, subí a la combi que estaba repleta y podía ver algunos rostros de personas asqueadas por el hedor. El olor era tan fuerte y nauseabundo que el cobrador me invito a bajarme del carro a la altura de la plaza San Martín.

Traduction temporaire :
— Eh bien, j'aime préparer des brochettes, et je suis très désordonné. Voilà, l'ami, l'heure est venue pour toi de me laisser seul. J'espère t'avoir été utile. Hasta la vista, baby.
Plus déconcerté que jamais, je pris congé et dévalai les escaliers en courant, jusqu'à me retrouver dans la rue. J'étais tellement distrait que je ne remarquai pas les énormes galettes de lisier répandues sur le trottoir et crottai mes chaussures. J'étais si troublé que j'y vis un bon signe.
— On dit que ça porte chance.
Je décidai de ne pas nettoyer ce cadeau du destin, montai dans le bus bondé, où je pouvais observer les visages de personnes dégoûtées par la puanteur. L'odeur était tellement forte et nauséabonde que le contrôleur m'invita à descendre à hauteur de la Plaza San Martín.

4 commentaires:

Justine a dit…

— Eh bien, j'aime préparer des brochettes, et je suis très désordonné. Voilà, l'ami, l'heure est venue pour toi de me laisser seul, j'espère t'avoir été utile. Hasta la vista, baby.
Je pris congé plus déconcerté que jamais et dévalai les escaliers en courant, jusqu'à me retrouver dans la rue. J'étais tellement distrait que je ne remarquai pas les énormes galettes de lisier éparpillées sur le trottoir et crottai mes chaussures. Mais j'étais si troublé que j'y vis un bon signe.
— On dit que ça porte chance.
Je décidai de ne pas nettoyer ce cadeau du destin, montai dans le bus bondé où je pouvais observer les visages de personnes dégoûtées par la puanteur. L'odeur était tellement forte et nauséabonde que le contrôleur m'invita à descendre à hauteur de la Plaza San Martín.

Tradabordo a dit…

— Eh bien, j'aime préparer des brochettes, et je suis très désordonné. Voilà, l'ami, l'heure est venue pour toi de me laisser seul, [point ? Comme tu veux] j'espère t'avoir été utile. Hasta la vista, baby.
Je pris congé plus déconcerté que jamais [ou en mettant ça au début ?] et dévalai les escaliers en courant, jusqu'à me retrouver dans la rue. J'étais tellement distrait que je ne remarquai pas les énormes galettes de lisier éparpillées [« répandues » ? Comme tu veux] sur le trottoir et crottai mes chaussures. Mais [supprime] j'étais si troublé que j'y vis un bon signe.
— On dit que ça porte chance.
Je décidai de ne pas nettoyer ce cadeau du destin, montai dans le bus bondé [virgule ?] où je pouvais observer les visages de personnes dégoûtées par la puanteur. L'odeur était tellement forte et nauséabonde que le contrôleur m'invita à descendre à hauteur de la Plaza San Martín.

Justine a dit…

— Eh bien, j'aime préparer des brochettes, et je suis très désordonné. Voilà, l'ami, l'heure est venue pour toi de me laisser seul. J'espère t'avoir été utile. Hasta la vista, baby.
Plus déconcerté que jamais, je pris congé et dévalai les escaliers en courant, jusqu'à me retrouver dans la rue. J'étais tellement distrait que je ne remarquai pas les énormes galettes de lisier répandues sur le trottoir et crottai mes chaussures. J'étais si troublé que j'y vis un bon signe.
— On dit que ça porte chance.
Je décidai de ne pas nettoyer ce cadeau du destin, montai dans le bus bondé, où je pouvais observer les visages de personnes dégoûtées par la puanteur. L'odeur était tellement forte et nauséabonde que le contrôleur m'invita à descendre à hauteur de la Plaza San Martín.

Tradabordo a dit…

— Eh bien, j'aime préparer des brochettes, et je suis très désordonné. Voilà, l'ami, l'heure est venue pour toi de me laisser seul. J'espère t'avoir été utile. Hasta la vista, baby.
Plus déconcerté que jamais, je pris congé et dévalai les escaliers en courant, jusqu'à me retrouver dans la rue. J'étais tellement distrait que je ne remarquai pas les énormes galettes de lisier répandues sur le trottoir et crottai mes chaussures. J'étais si troublé que j'y vis un bon signe.
— On dit que ça porte chance.
Je décidai de ne pas nettoyer ce cadeau du destin, montai dans le bus bondé, où je pouvais observer les visages de personnes dégoûtées par la puanteur. L'odeur était tellement forte et nauséabonde que le contrôleur m'invita à descendre à hauteur de la Plaza San Martín.

OK.