vendredi 3 avril 2015

Projet Annelise 2 – phrases 161-168

Bajo las escaleras con tranquilidad, despacio, sin hacer ruido. No existe una necesidad para eso, es la forma en que aprendí a hacerlo ahí para no molestar a nadie. La madre y el tío se están despidiendo en la puerta. El primo debe estar en el auto, sospecho. Me detengo antes de bajar completamente. Él posa su mano por la espalda de ella, la baja hasta que se aprisiona en sus nalgas. Se besan hasta que los labios adquieren una viscosidad agresiva. Ella sonríe luego, gracias por todo, le dice. Él se va de la casa, se puede escuchar el carro arrancar.

Traduction temporaire :
Je descends les escaliers dans le calme, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle prennent congé à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver en bas. Il lui pose une main sur le dos, la fait glisser puis elle s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent jusqu'à ce que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive. Ensuite elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Je descends tranquillement les escaliers, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là-bas, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle se disent au revoir à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver complètement en bas. Il pose sa main sur son dos, la fait glisser jusqu'à lui tâter les fesses. Ils s'embrassent jusqu'à ce que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Puis elle sourit, merci pour tout lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Tradabordo a dit…

Je descends tranquillement les escaliers, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là-bas [pourquoi tu t'éloignes de la V.O. ?], pour ne déranger personne. La mère et l'oncle se disent au revoir [« prennent congé » ?] à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver complètement [naturel ?] en bas. Il pose sa main sur son dos [sans la V.O., on ne sait pas le dos de qui], la fait glisser jusqu'à lui tâter [pas ce que dit la V.O.] les fesses. Ils s'embrassent jusqu'à [tu en as déjà un dans la phrase d'avant] ce que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Puis elle sourit, merci pour tout lui [virgule] dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Anonyme a dit…

Annelise L

Je descends tranquillement les escaliers, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle se disent au revoir à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver tout en bas. Il pose sa main sur son dos à elle, la fait glisser jusqu'à ce qu'elle s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent au point que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Puis elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Tradabordo a dit…

Je descends tranquillement les escaliers, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle se disent [tu as un « dire » à la fin] au revoir à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver tout [nécessaire ?] en bas. Il pose sa main sur son dos à elle [« IL lui pose la main sur le dos » ?], la fait glisser jusqu'à ce qu'elle s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent au point [mal dit] que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Puis elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Anonyme a dit…

Annelise L

Je descends tranquillement les escaliers, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle prennent congé à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver en bas. Il lui pose sa main sur le dos, la fait glisser jusqu'à ce qu'elle s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent à tel point que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Puis elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Tradabordo a dit…

Je descends tranquillement les escaliers, lentement [ah zut ; ça m'embête ces deux adverbes en « -ment » ; une solution ?], sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle prennent congé à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver en bas. Il lui pose sa [« une »] main sur le dos, la fait glisser jusqu'à ce qu'elle [passe par « puis » ici et garde « jusqu'à » pour la phrase d'avant… C'est trop artificiel de faire sans] s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent à tel point que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Puis elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Anonyme a dit…

Annelise L

Je descends les escaliers dans le calme, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle prennent congé à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver en bas. Il lui pose une main sur le dos, la fait glisser puis elle s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent jusqu'à ce que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Ensuite elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

Tradabordo a dit…

Je descends les escaliers dans le calme, lentement, sans faire de bruit. Non pas que ce soit nécessaire, c'est juste une façon d'agir que j'ai apprise là, pour ne déranger personne. La mère et l'oncle prennent congé à la porte. Le cousin doit être dans la voiture, je suppose. Je m'arrête avant d'arriver en bas. Il lui pose une main sur le dos, la fait glisser puis elle s'emprisonne entre ses fesses. Ils s'embrassent jusqu'à ce que leurs lèvres acquièrent une viscosité agressive.
Ensuite elle sourit, merci pour tout, lui dit-elle. Il s'en va, on entend le véhicule démarrer.

OK.