mercredi 8 avril 2015

Projet Caroline 2 – phrases 262-270

Por primera vez desde que descendió al Pandemonium, le embargó una tristeza incisiva que pronto desembocaría en pesadumbre. Durante siglos había entablado interesantes conversaciones con Satanás, innumerables horas de amena charla en la que disfrutó y aprendió tanto... Y de pronto comprendió con fría claridad que nunca más se sentarían a hablar. En ese momento Mammón sintió un inmenso vacío en su interior.
Vamos, amigo, no estés triste —Satanás le rodeó el cuello con el brazo y le miró a los ojos—. Hay que resignarse. Tarde o temprano todo llega a su fin. Ya lo sabes.
Sí, todo llega a su fin —repitió Mammón con un nudo en la garganta, abrazando a su maestro.

Traduction temporaire :

Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient eu des conversations intéressantes et agréables, au cours d'innombrables heures qui lui avaient procuré tant de plaisir et appris tant de choses… Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide.
— Allons, mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules. Il poursuivit en le regardant dans les yeux : Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge nouée, en serrant son maître dans ses bras.

7 commentaires:

Caroline a dit…

Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient amorcé toutes sortes de conversations intéressantes, s'étirant en d'innombrables heures de discussion agréable qui lui avait procuré tant de plaisir et de savoir... Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide en lui.
— Allons mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules.
Il poursuivit en le regardant dans les yeux :
— Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge serrée, en serrant son maître dans ses bras.

Tradabordo a dit…

Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient amorcé [pas très naturel ici ; dégagez-vous de l'espagnol] toutes [vous avez « tout » dans la phrase d'avant] sortes de conversations intéressantes, s'étirant en [idem // pas très naturel] d'innombrables heures de discussion [en fait, ça oblige à répéter : ils ont eu des conversations qui ont donné des discussions… Reprenez tout cela en vous l'appropriant davantage] agréable qui lui avait procuré tant de plaisir et de savoir... Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide en lui.
— Allons mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules.
Il poursuivit en le regardant dans les yeux :
— Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge serrée, en serrant son maître dans ses bras.

Caroline a dit…

— Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient eu des conversations intéressantes et agréables, au cours d'innombrables heures qui lui avaient procuré tant de plaisir et de savoir... Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide en lui.
— Allons mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules.
Il poursuivit en le regardant dans les yeux :
— Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge serrée, en serrant son maître dans ses bras.

Tradabordo a dit…

— Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient eu des conversations intéressantes et agréables, au cours d'innombrables heures qui lui avaient procuré tant de plaisir et de savoir [« et appris tant de choses »]... [raccourci clavier des points de suspension] Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide en lui [nécessaire ? Sinon, mettez-le avant].
— Allons [virgule] mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules.
[remontez] Il poursuivit en le regardant dans les yeux :
— [remontez et supprimez le tiret] Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge serrée, en serrant [pas génial, les deux côte à côte] son maître dans ses bras.

Tradabordo a dit…

— Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient eu des conversations intéressantes et agréables, au cours d'innombrables heures qui lui avaient procuré tant de plaisir et de savoir [« et appris tant de choses »]... [raccourci clavier des points de suspension] Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide en lui [nécessaire ? Sinon, mettez-le avant].
— Allons [virgule] mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules.
[remontez] Il poursuivit en le regardant dans les yeux :
— [remontez et supprimez le tiret] Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge serrée, en serrant [pas génial, les deux côte à côte] son maître dans ses bras.

Caroline a dit…

Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient eu des conversations intéressantes et agréables, au cours d'innombrables heures qui lui avaient procuré tant de plaisir et appris tant de choses… Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide.
— Allons, mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules. Il poursuivit en le regardant dans les yeux : Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge nouée, en serrant son maître dans ses bras.

Tradabordo a dit…

Pour la première fois depuis sa descente à Pandémonium, il fut saisi par un tristesse poignante, qui menaçait de le submerger à tout instant. Pendant des siècles, Satan et lui avaient eu des conversations intéressantes et agréables, au cours d'innombrables heures qui lui avaient procuré tant de plaisir et appris tant de choses… Et soudain, il lui apparut avec une froide clarté qu'ils ne s’assiéraient plus jamais côte à côte pour parler. À cet instant, Mammón ressentit un immense vide.
— Allons, mon ami, ne sois pas triste, le consola Satan en passant son bras autour de ses épaules. Il poursuivit en le regardant dans les yeux : Il faut l'accepter. Tôt ou tard, tout a une fin. Tu le sais bien.
— Oui, tout a une fin, répéta Mammón, la gorge nouée, en serrant son maître dans ses bras.

OK.