lundi 13 avril 2015

Projet Éléonore / Johanna – phrases 114-116


Los cuchillos de la cocina se quiebran, el fruto se le resbala de las manos debido a que su piel es gruesa como el cuero de un cerdo, y a la niña su corazón está a punto de quebrársele con tanta emoción y miedo. Y piensa: ¿por qué Julio es tan malo?, ¿por qué no la deja jugar en paz? Por fin logra pelar la tuna, la misma que exhibe su cuerpo color rojo sangriento, delicado y carnoso como si fuera a deshacerse con sólo mirarlo.

Traduction temporaire :
Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau, aussi épaisse que le cuir d'un porc. Le cœur de la fillette est sur le point de lâcher, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ? Pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, qui exhibe son corps rouge sanguinolent, délicat et charnu, comme s'il allait se défaire d'un simple regard.

8 commentaires:

Eléonore Renaud a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau épaisse comme le cuir d'un porc. Le coeur de la fillette est sur le point d'exploser, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ?, pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, celle-là même qui exhibe son corps rouge sanglant, délicat et charnu comme si il allait de défaire d'un simple regard.

Tradabordo a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau épaisse comme [ou avec « aussi… que… » ?] le cuir d'un porc. Le coe[œ]ur de la fillette est sur le point d'exploser [bof], envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ?, p[san virgule + majuscule]ourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, celle-là même [bof ; c'est lourd…] qui exhibe son corps rouge sanglant [« sanguinolent » ? Comme vous voulez…], délicat et charnu [virgule] comme si il [si il = s'il ] allait de [?] défaire d'un simple regard.

Eléonore Renaud a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau aussi épaisse que le cuir d'un porc. Le cœur de la fillette est sur le point de lâcher, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ? Pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, laquelle exhibe son corps rouge sanguinolent, délicat et charnu, comme s'il allait se défaire d'un simple regard.

Unknown a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau aussi épaisse que le cuir d'un porc. Le cœur de la fillette est sur le point de se briser, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ? Pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, celle qui exhibe son corps rouge sanguinolent , délicat et charnu, comme s'il allait se défaire d'un simple regard.

Tradabordo a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau [virgule] aussi épaisse que le cuir d'un porc. Le cœur de la fillette est sur le point de lâcher, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ? Pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, laquelle [« qui » ?] exhibe son corps rouge sanguinolent, délicat et charnu, comme s'il allait se défaire d'un simple regard.

Eléonore Renaud a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau, aussi épaisse que le cuir d'un porc. Le cœur de la fillette est sur le point de lâcher, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ? Pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, qui exhibe son corps rouge sanguinolent, délicat et charnu, comme s'il allait se défaire d'un simple regard.

Tradabordo a dit…

Les couteaux de la cuisine se cassent, le fruit lui glisse des mains à cause de sa peau, aussi épaisse que le cuir d'un porc. Le cœur de la fillette est sur le point de lâcher, envahi par l'émotion et la peur. Elle se demande : pourquoi Julio est-il si méchant ? Pourquoi ne la laisse-t-il pas jouer en paix ? Finalement, elle réussit à peler la figue, qui exhibe son corps rouge sanguinolent, délicat et charnu, comme s'il allait se défaire d'un simple regard.

OK.

Johanna ?

Unknown a dit…

ok