jeudi 9 avril 2015

Projet Ludivine / Élise – phrases 253-260

De la cabeza, las manos y los pies de Roberto surgían hilos finísimos, de color gris, que subían hacia el cielo y se perdían en la altura. Lo hacían parecer una marioneta. Había más peatones que cruzaban la calle y la plaza vecina. Todos pendían de hilos de colores: verdes, rosas, azules, negros, blancos. Algunos multicolores. Unos más gruesos que otros. Los conductores también llevaban hilos, que curiosamente no se enredaban entre sí ni con los hilos de los demás. Sólo los niños corrían o jugaban libres, sin aquella extraña circunstancia que nadie, excepto Pinó y el juguete, parecía advertir.

Traduction temporaire :
De la tête, des mains et des pieds de Roberto jaillissaient des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches. Quelques-unes multicolores. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

7 commentaires:

Unknown a dit…

De la tête, des mains et des pieds de Roberto s'échappaient des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches. Quelques-unes multicolores. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

Tradabordo a dit…

De la tête, des mains et des pieds de Roberto s'échappaient [ça donne l'impression que c'est involontaire, malgré lui… est-ce ce que suggère l'espagnol ?] des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches [vous avez accordé avec quoi ?]. Quelques-unes multicolores [idem et idem pour la suite… Juste une question]. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

Unknown a dit…

De la tête, des mains et des pieds de Roberto sortaient des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches [j'ai accordé avec « ficelles », j'ai changé pour ne pas répéter « fils », mais il ne fallait peut-être pas...]. Quelques-unes multicolores. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

Tradabordo a dit…

De la tête, des mains et des pieds de Roberto sortaient [« jaillissaient » ?] des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches. Quelques-unes multicolores. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

Unknown a dit…

De la tête, des mains et des pieds de Roberto jaillissaient des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches. Quelques-unes multicolores. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

Tradabordo a dit…

De la tête, des mains et des pieds de Roberto jaillissaient des fils très fins, de couleur grise, qui montaient vers le ciel et se perdaient dans les hauteurs. Ils lui donnaient l'apparence d'une marionnette. Davantage de piétons traversaient la rue et la place voisine. Tous étaient suspendus à des ficelles de couleurs : vertes, roses, bleues, noires, blanches. Quelques-unes multicolores. Certaines plus épaisses que d'autres. Les automobilistes aussi étaient accrochés à des fils qui, curieusement, ne s'emmêlaient ni entre eux ni avec les autres. Seuls les enfants courraient et jouaient librement, sans cette étrange contrainte que personne, hormis Pinó et le jouet, ne semblait remarquer.

OK.

Ludivine ?

Unknown a dit…

Je suis d'accord avec la traduction.