jeudi 9 octobre 2014

Projet Agathe 3 – texte entier

PATRICIA HIDALGO

Última mirada

Las escalas de la villa se llenan de cabezas oscuras y ojos brillantes. Los roncos quejidos de mi madre esfuman el silencio.
Abajo, sobre el pavimento, el rojo ensortijado de mi pelo flota sobre el charco de sangre coagulada.
El cabo Pérez, y los otros hombres de verde, ya no ríen, ni dicen que son asuntos privados, tampoco se ven tan poderosos. Alguien hace eco de mi voz y grita: “ahora aparecen” y toda la vecindad les grita con mi voz silenciada. El eco de la rabia calmada y colmada agita el líquido viscoso de mis arterias y las de tantas otras.

Traduction temporaire :

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard


Les strates du quartier pauvre s'emplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se sentent plus aussi puissants. Quelqu'un donne un écho à ma voix et crie : « ils arrivent ! », et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

32 commentaires:

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les échelles de la ville se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.

Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier [pas plus fort avec « ultime » ?] regard

Les échelles de la ville [juste pour être sûre : avez-vous bien rechercher le vocabulaire ?] se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Ultime regard

Les proportions de la ville se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Ultime regard

Les proportions de la ville [cf les autres sens ; « quartiers pauvres » ou pas ici… ? Je vous laisse réfléchir et fouiller, mais ne vous en tenez pas à la simple traduction du dictionnaire bilingue… Il faut être certaine de ne pas faire de FS] se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Ultime regard

Les quartiers défavorisés de la ville se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Ultime regard

Les quartiers défavorisés de la ville [mais c'est quoi « escalas » ici ?] se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Ultime regard

Les perrons de la ville se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Ultime regard

Les perrons de la ville [il faut que vous regardiez dans le dico unulingue pour enfin comprendre ce qu'est « villa »]



se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.
Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les perrons des quartiers pauvres se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent le silence.
En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés flotte sur la flaque de sang coagulé.

Pérez, le brigadier, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " c'est maintenant qu'ils apparaissent ", et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse. L'écho de la rage calmée et comblée agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les perrons [je ne dis pas que c'est faux, mais comme je vois que vous mettez un moment à ouvrir le dico unlingue, confirmez-moi que ça a bien été vérifié…] des quartiers pauvres se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère estompent [moyen ici] le silence. En bas, sur le pavé, le rouge de mes cheveux bouclés [est-ce qu'il ne faudrait pas mieux le laisser comme en V.O. ?] flotte sur la flaque de sang coagulé. Pérez, le brigadier [comme en V.O. ; c'est comme ça qu'on le dit aussi], et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se voient pas non plus aussi puissants [la fin n'est pas très naturelle]. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : " [les guillemets français «»] c'est maintenant qu'ils apparaissent " [naturel ?], et tout le voisinage les huent de ma voix silencieuse [vérifié ?]. L'écho de la rage calmée et comblée [ambigu ici] agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les perrons [j'ai bien vérifié dans deux dictionnaires unilingues , la Real Academia Española et le dictionnaire María Moliner, et j'ai trouvé le mot « perron » dans les synonymes ; mais je ne vois pas l'autre sens que peut avoir ici le mot « escala » ] des quartiers pauvres se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère noient le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et se voient comme impuissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : « c'est maintenant qu'ils arrivent » , et tout le voisinage les huent de ma voix passée sous silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

Le truc qui m'embête, c'est que « perron » ne semble pas très adapté à des quartiers pauvres… Cherchez quand même dans « Google images ».

Unknown a dit…

Est-ce qu'on pourrait mettre ici le mot « entrées », qui est plus neutre et qui pourrait s'appliquer à des quartiers pauvres ? Je pensais aussi au mot « avenues », mais je ne sais pas si c'est exactement le sens du mot « escalas ».

Tradabordo a dit…

Là, il ne faut pas essayer d'interpréter… il faut vraiment chercher – sachant, cela peut être utile, que l'auteur est chilienne.

Unknown a dit…

J'ai cherché dans plusieurs dictionnaires et même dans le « diccionario de americanismos » , mais je ne trouve pas. Peut-on parler d'escaliers dans ce contexte-là ? Pouvez-vous me donner des références ?

Tradabordo a dit…

Je vous ai dit, tentez le coup avec Google / en mettant des « guillemets », voyez dans quel contexte cela est employé et par qui + Googles images. Là, ce ne sont pas les dicos qui vont vous aider, mais internet en général…

Unknown a dit…

Sur Google j'ai trouvé le mot « escalas » dans le sens d'échelle, mais ce n'est pas ça. Et sur Google image, je trouve seulement des images de bidonvilles, en tapant « escalas del barrio pobre» ou « escalas de las chabolas» ...

Tradabordo a dit…

Et il y a quoi sur ces images ? Sont-elles différentes de quand vous tapez « villas » tout seul ?

Unknown a dit…

Oui, elles sont différentes. Quand je tape « villa », je trouve tout l'opposé, de grandes maisons individuelles, des villas comme on dirait en français. Et quand je tape « escalas del barrio pobre », je trouve des maisons délabrées, des ghettos collés les uns aux autres.

Tradabordo a dit…

Pas dans le sens de « niveaux » / étagement ?

Unknown a dit…

Oui, ça fait des niveaux sur certaines photos. Mais on pourrait dire « les niveaux des quartiers pauvres » ?

Tradabordo a dit…

Non, pas génial… mais regardez dans le dico des synonymes.

Unknown a dit…

Que pensez-vous du mot « hauteurs » ?

Tradabordo a dit…

Sauf que ça n'est pas forcément en hauteur… donc, ça me semble ambigu.

« strates » ?

Unknown a dit…


PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates des quartiers pauvres se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère noient le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et se voient comme impuissants. Quelqu'un se fait l'écho de ma voix et crie : « c'est maintenant qu'ils arrivent » , et tout le voisinage les huent de ma voix passée sous silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates des quartiers pauvres [au singulier en V.O.] se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère noient [bof ici] le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et se voient comme [mal dit ; peu naturel] impuissants. Quelqu'un se [mal dit] fait l'écho de ma voix et crie : « c'est maintenant qu'ils arrivent » , et tout le voisinage les huent de [« à travers » ou quelque chose comme ça] ma voix passée sous silence [bof]. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates du quartier pauvre se remplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et se considèrent impuissants. Quelqu'un fait l'écho de ma voix et crie : « c'est maintenant qu'ils arrivent » , et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates du quartier pauvre se r[nécessaire ?]emplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et se considèrent impuissants [pas ce que dit la V.O.]. Quelqu'un fait l'[« donne un » ? Essayez]écho de ma voix et crie : « c'est maintenant qu'ils arrivent » [supprimez l'espace en trop] , et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates du quartier pauvre s'emplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se sentent plus aussi puissants. Quelqu'un donne un écho de ma voix et crie : « c'est maintenant qu'ils arrivent », et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates du quartier pauvre s'emplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se sentent plus aussi puissants. Quelqu'un donne un écho de [« à » ?] ma voix et crie : « c'est [nécessaire ?] maintenant [nécessaire ?] qu' [nécessaire ?] ils arrivent », et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Unknown a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates du quartier pauvre s'emplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se sentent plus aussi puissants. Quelqu'un donne un écho à ma voix et crie : « ils arrivent », et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

Tradabordo a dit…

PATRICIA HIDALGO

Dernier regard

Les strates du quartier pauvre s'emplissent de têtes sombres et d'yeux brillants. Les gémissements rauques de ma mère brisent le silence. En bas, sur le pavé, le rouge bouclé de mes cheveux flotte sur la flaque de sang coagulé. Le brigadier Pérez, et les autres hommes en vert, ne rient plus, ne disent plus que ce sont des affaires privées, et ne se sentent plus aussi puissants. Quelqu'un donne un écho à ma voix et crie : « ils arrivent ! », et tout le voisinage les huent à travers ma voix réduite au silence. L'écho de la rage calmée et pleine agite le liquide visqueux de mes artères et celles de tant d'autres.

OK.