samedi 25 octobre 2014

Projet Nancy 4 – phrases 13-15

Pero Leo siente que el problema no pasa por su trabajo, sino por la quijotesca broma del destino que lo deja caer atrapado en cuanta lectura llega a sus manos y lo que es peor, que lo hace leer caminando, esquivando peligrosamente a los transeúntes y vehículos. Cruzo esquinas, les doy la vuelta, acelero el paso y no pierdo el párrafo, dice tocándose la frente como si tuviera calentura. Me detengo en los semáforos, subo escaleras, las bajo y el hilo conductor de la historia me mantiene atado.

Traduction temporaire :
Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais de ce pied de nez donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, quand il doit esquiver dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

10 commentaires:

Nancy a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais plutôt de cette blague donquichottesque du destin qui l'enferme dans chaque lecture qui se présente, et pire encore, le contraint à lire en marchant, évitant dangereusement passants et véhicules. Je traverse aux coins des rues, je tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire m'empêche de m'échapper.

Tradabordo a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là [pas sûre que ce soit judicieux de supprimer], mais plutôt de cette blague donquichottesque du destin qui l'enferme [je me demande si tu ne changes pas un peu] dans chaque lecture qui se présente [on le dirait], et pire encore, le contraint à lire en marchant, évitant [« esquivant » ?] dangereusement passants et véhicules. Je traverse aux [« à des » ?] coins des rues, je [« j'y » ?] tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant [« , la main sur » ?] le front [virgule] comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire m'empêche de m'échapper.

Nancy a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là [pas sûre que ce soit judicieux de supprimer/ Cela éviterait une répétition et je trouve qu'il est assez clair que l'on parle du travail avec le paragraphe précédent], mais plutôt de cette blague donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, esquivant dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant [« , la main sur » ?/Du coup, j'ai mis "mains" au-dessus] le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire m'empêche de m'échapper.

Tradabordo a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais plutôt de cette blague [« pied de nez » ? Le cas échéant, vérifie s'il y a des tirets] donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, esquivant dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire m'empêche de m'échapper [dommage… car on affaiblit le jeu avec « fil »].

Nancy a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais plutôt de ce pied de nez [pas de tirets ;-)] donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, esquivant dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

Tradabordo a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais plutôt [redondant ?] de ce pied de nez donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant [« quand il… »… car différent de ce qui suit… or ça les met sur le même plan…], esquivant dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

Nancy a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais de ce pied de nez donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, quand il esquive dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

Tradabordo a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais de ce pied de nez donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, quand il [« doit »] esquive [« esquiver »] dangereusement [du coup, vois s'il ne faut pas le placer avant] passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

Nancy a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais de ce pied de nez donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, quand il doit esquiver dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

Tradabordo a dit…

Cependant, Leo sent que le problème ne vient pas de là, mais de ce pied de nez donquichottesque du destin qui le piège dès qu'il a un livre entre les mains, et pire encore, qui le contraint à lire en marchant, quand il doit esquiver dangereusement passants et véhicules. Je traverse à des coins des rues, j'y tourne, j’accélère le pas, tout cela sans me perdre dans les paragraphes, continue-t-il en se touchant le front, comme s'il avait de la fièvre. Je m'arrête aux feux rouges, je monte les escaliers, je les descends, et le fil conducteur de l'histoire me retient prisonnier.

OK.