jeudi 23 octobre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 140-142

Pero entonces llegó la enfermedad. La tarde en que los doctores los enviaron a la ciudad para que Nuria descubriera los motivos que provocaban el dolor en su bajo vientre, Luizinho tenía veinticinco años y supo enseguida que nunca regresarían como se fueron. Recuerda que durmieron esa noche en un hotel, como no lo habían hecho la noche de su boda, apresurada y austera, y que Nuria durmió confortada, no tanto por sus abrazos como por un tranquilizante que le hipnotizó el malestar. 

Traduction temporaire :
Mais, c’est alors que la maladie frappa. L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut aussitôt qu'ils ne seraient plus jamais les mêmes qu'avant. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel – ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, vite expédiée et austère – et que Nuria s’endormit, réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

10 commentaires:

Hélène a dit…

C’est alors qu’apparut la maladie.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour découvrir ce qui provoquait les douleurs dans le bas-ventre de Nuria, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut alors qu’ils ne reviendraient jamais comme ils étaient avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel, ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, expédiée et austère, et que Nuria s’endormit réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes que grâce à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Tradabordo a dit…

C’est [tu ne mets pas le « pero » ?] alors qu’apparut [« se déclencha » ? Ça dépend de ton contexte, que j'ai évidemment oublié] la maladie.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour découvrir [« déterminer »] ce qui provoquait les douleurs dans le bas-ventre de Nuria [pas super naturel… Reformule complètement], Luizinho avait vingt-cinq ans ;

il sut alors qu’ils ne reviendraient jamais comme ils étaient avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel, ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, expédiée et austère, et que Nuria s’endormit réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes que grâce à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Hélène a dit…

Mais, c’est alors que se déclencha la maladie.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer ce qui faisait souffrir Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut alors qu’ils ne reviendraient jamais comme ils étaient avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel, ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, expédiée et austère, et que Nuria s’endormit réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Tradabordo a dit…

Mais, c’est alors que se déclencha la maladie [en changeant la syntaxe de la fin ?].
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer ce qui faisait souffrir [« la cause des douleurs de N dans le………… »] Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut alors qu’ils ne reviendraient jamais comme ils étaient avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel, ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, expédiée et austère, et que Nuria s’endormit réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Hélène a dit…

Mais, c’est alors que la maladie frappa [après réflexion, je me dis qu'il faut garder l'effet de surprise, produit par la révélation soudaine, et donc dramatique, de la maladie de Nuria].
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut alors qu’ils ne reviendraient jamais comme ils étaient avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel, ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, expédiée et austère, et que Nuria s’endormit réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise

Tradabordo a dit…

Mais, c’est alors que la maladie frappa.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut alors [FS] qu’ils ne reviendraient jamais comme ils étaient [« qu'ils ne seraient plus jamais les mêmes qu' » ?] avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel, [tiret ?] ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, [« vite » ?] expédiée et austère [tiret], et que Nuria s’endormit [virgule] réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Hélène a dit…

Mais, c’est alors que la maladie frappa.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut aussitôt qu'ils ne seraient plus jamais les mêmes qu'avant de partir. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel – ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, vite expédiée et austère – et que Nuria s’endormit, réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Tradabordo a dit…

Mais, c’est alors que la maladie frappa.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut aussitôt qu'ils ne seraient plus jamais les mêmes qu'avant de partir [au fait, nécessaire ?]. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel – ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, vite expédiée et austère – et que Nuria s’endormit, réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Hélène a dit…

Mais, c’est alors que la maladie frappa.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut aussitôt qu'ils ne seraient plus jamais les mêmes qu'avant. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel – ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, vite expédiée et austère – et que Nuria s’endormit, réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

Tradabordo a dit…

Mais, c’est alors que la maladie frappa.
L’après-midi où les docteurs les envoyèrent en ville pour déterminer la cause des douleurs de Nuria dans le bas-ventre, Luizinho avait vingt-cinq ans ; il sut aussitôt qu'ils ne seraient plus jamais les mêmes qu'avant. Il se rappelle que cette nuit-là, ils dormirent à l’hôtel – ce qu’ils n’avaient pas fait pour leur nuit de noces, vite expédiée et austère – et que Nuria s’endormit, réconfortée, pas tant grâce à ses étreintes qu'à un tranquillisant qui hypnotisa son malaise.

OK.