mardi 28 octobre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 192-199

Sobre su casa descascarada, el árbol de chernobyl había crecido devastándolo todo. Ramas como manos se iban bifurcando desde el bosque rojizo arremetiendo contra paredes y ventanas. Rodeando la casa, encontró el pozo que juntos habían hecho más de veinte años atrás. Aliaksei se agachó y tomó agua con lo poco que sus manos podían recoger. Llenó la cantimplora y se volvió para ver el bosque de chernobyls, ese árbol que lo rodeaba todo. Ese color verduzco había desaparecido y ahora uno irreconocible yacía por todas partes. “Ajenjo por todas nuestras casas” se dijo. “Así se iba a acabar el mundo.”

Traduction temporaire :
L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, enfonçaient les murs et les fenêtres. Faisant le tour de la maison, il gagna le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei s'y pencha et prit la petite quantité d'eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour regarder le bois de Tchernobyl, cette frondaison qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu, au profit d’une autre, méconnaissable, désormais omniprésente. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « C'est à ça que ressemblerait la fin du monde ».

10 commentaires:

Hélène a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait grandi sur sa maison effritée en dévastant tout. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, heurtant les murs et les fenêtres. Il fit le tour de la maison et trouva le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei se pencha et prit le peu d’eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour voir le bois de Tchernobyl, cet arbre qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu au profit d’une autre, méconnaissable, qui envahissait l’endroit. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « Ainsi allait être la fin du monde ».

Tradabordo a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait grandi sur sa maison effritée [mal dit] en dévastant tout [L'arbre……… avait tout dévasté………… Essaie et vois ce qui est mieux]. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, heurtant les murs et les fenêtres. Il fit le tour de la maison et trouva le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei se pencha et prit le peu d’eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour voir le bois de Tchernobyl, cet arbre qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu au profit d’une autre, méconnaissable, qui envahissait l’endroit. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « Ainsi allait être la fin du monde ».

Hélène a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, heurtant les murs et les fenêtres. Il fit le tour de la maison et trouva le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei se pencha et prit le peu d’eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour voir le bois de Tchernobyl, cet arbre qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu au profit d’une autre, méconnaissable, qui envahissait l’endroit. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « Ainsi allait être la fin du monde ».

Hélène a dit…

Je ne sais pas si tu as vu mon dernier commentaire ?

Hélène a dit…

On continue ?

Tradabordo a dit…

Pas vu ;-)

L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, heurtant [bof… je pense que c'est plus fort] les murs et les fenêtres. Il fit [« Faisant » ; bref, comme en V.O. ?] le tour de la maison et trouva le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei se pencha et prit le peu d’eau [ou « petite quantité » ? Comme tu veux…] que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour voir [« regarder » ?] le bois de Tchernobyl, cet arbre qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu [virgule] au profit d’une autre, méconnaissable, qui envahissait l’endroit. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « Ainsi allait être la fin du monde [naturel ?] ».

Hélène a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, enfonçant les murs et les fenêtres. Faisant le tour de la maison, il trouva le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei se pencha et prit la petite quantité d'eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour regarder le bois de Tchernobyl, cet arbre qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu, au profit d’une autre, méconnaissable, qui envahissait l’endroit. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « C'est à ça que ressemblerait la fin du monde ».

Tradabordo a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, enfonçant [« enfonçaient » ?] les murs et les fenêtres. Faisant le tour de la maison, il trouva [« gagna » ?] le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei se [« s'y » ?] pencha et prit la petite quantité d'eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour regarder le bois de Tchernobyl, cet arbre [« frondaison » ? je sais que ça change, mais je trouve ça pas mal… À toi de me ramener à la raison, si tu estimes que je vais trop loin ;-)] qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu, au profit d’une autre, méconnaissable, qui envahissait l’endroit [« désormais omniprésente » ?]. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « C'est à ça que ressemblerait la fin du monde ».

Hélène a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, enfonçaient les murs et les fenêtres. Faisant le tour de la maison, il gagna le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei s'y pencha et prit la petite quantité d'eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour regarder le bois de Tchernobyl, cette frondaison qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu, au profit d’une autre, méconnaissable, désormais omniprésente. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « C'est à ça que ressemblerait la fin du monde ».

Tradabordo a dit…

L’arbre de Tchernobyl avait tout dévasté en grandissant sur sa maison délabrée. Des branches semblables à des mains se dédoublaient depuis le bois rougeâtre, enfonçaient les murs et les fenêtres. Faisant le tour de la maison, il gagna le puits qu’ils avaient construit ensemble plus de vingt ans auparavant. Aliaksei s'y pencha et prit la petite quantité d'eau que ses mains lui permettaient de retenir. Il remplit sa gourde et se retourna pour regarder le bois de Tchernobyl, cette frondaison qui recouvrait tout. La couleur verdâtre avait disparu, au profit d’une autre, méconnaissable, désormais omniprésente. « De l’absinthe partout dans nos maisons », pensa-t-il. « C'est à ça que ressemblerait la fin du monde ».

OK.