vendredi 31 octobre 2014

Projet Florian – phrases 51-54

Doblo la esquina y me persigue uno con un talonario, otro me vende un anillo que no recuerdo haber regalado y me persiguen mostrándome rostros de mujeres conocidas a quienes no pongo nombre. Y a lo lejos veo el traje de flores de Mercedes. Me persiguen y me persiguen. Cada vez venden más rebajado y uno bajito me ofrece la maleta con la que se fue Mercedes y yo corro y corro.

Traduction temporaire :
Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je suis incapable de mettre un nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils sont encore et toujours après moi. Ils vendent en baissant le prix à chaque fois et l'un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes est partie et je cours, encore et encore.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre me vend une bague que je ne me rappelle pas avoir offert à quelqu'un et ils me poursuivent en me montrant des visages de femmes connues auxquelles je ne mets pas de nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils me poursuivent éternellement. À chaque fois, ils vendent avec un prix soldé et un tout petit m'offre même la valise avec laquelle Mercedes était partie et je cours, encore et encore.

Tradabordo a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre me vend [«herche à me vendre », non ?] une bague que je ne me rappelle pas avoir offert [ou « offerte » ? Vérifiez] à quelqu'un et ils me poursuivent [essayez de ne pas répéter ; « harceler » ?] en me montrant des visages de femmes connues auxquelles [?] je ne mets pas de nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils me poursuivent éternellement [bof]. À chaque fois, ils vendent avec un prix soldé [mal dit + pas exactement ce que dit la V.O.] et un tout petit [? Reprenez tout ça… et relisez davantage avant de publier ; c'est dommage, on avance bien… mais ces choses-là nous font perdre du temps] m'offre même la valise avec laquelle Mercedes était partie et je cours, encore et encore.

Unknown a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je ne mets pas de nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils me harcèlent toujours. À chaque fois, ils vendent en diminuant le prix et un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes était partie et je cours, encore et encore.

Tradabordo a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je ne mets pas [ou : « je suis incapable de mettre un » ?] de nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils me harcèlent toujours [« Ils sont encore et toujours après moi »]. À chaque fois [non… ça va avec « vender más »], ils vendent en diminuant le prix et un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes était partie et je cours, encore et encore.

Unknown a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je suis incapable de mettre un nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils sont encore et toujours après moi. Ils vendent en diminuant le prix à chaque fois et un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes était partie et je cours, encore et encore.

Tradabordo a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je suis incapable de mettre un nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils sont encore et toujours après moi. Ils vendent en diminuant [il y a plus adapté ici] le prix à chaque fois et [« l' »] un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes était partie [temps] et je cours, encore et encore.

Unknown a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je suis incapable de mettre un nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils sont encore et toujours après moi. Ils vendent en baissant le prix à chaque fois et l'un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes est partie et je cours, encore et encore.

Tradabordo a dit…

Je tourne au coin de la rue et il y en a un qui me poursuit avec un chéquier, un autre cherche à me vendre une bague que je ne me rappelle pas avoir offerte à quelqu'un et ils me harcèlent en me montrant des visages de femmes connues sur lesquels je suis incapable de mettre un nom. Mais au loin, je vois la robe à fleurs de Mercedes. Ils sont encore et toujours après moi. Ils vendent en baissant le prix à chaque fois et l'un d'entre eux, un petit, m'offre même la valise avec laquelle Mercedes est partie et je cours, encore et encore.

OK.