vendredi 31 octobre 2014

Projet Justine 3 – phrases 36-42

Pero aún después de mi exabrupto, no dejó de sonreír. Me miró largamente, tomó asiento y dijo con tranquilidad:
Nuestro hijo tiene un mes. Y eso tenemos que celebrarlo.
Me senté y la miré. Por un momento me desconcerté. Le pregunté si estaba embarazada y ella dijo que sí. Enseguida sentí rencor.

Traduction temporaire :

Mais mon accès d’humeur n’avait pas effacé son sourire. Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer, sereine :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

8 commentaires:

Justine a dit…

Mais mon accès d’humeur n’avait même pas effacé son sourire.
Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer calmement :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Tradabordo a dit…

Mais mon accès d’humeur [rappelle-moi ce qu'il a fait ? Juste pour être certaine que tu as choisi la bonne trad du terme] n’avait même pas effacé son sourire.
Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer calmement :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Justine a dit…

Après avoir fait la liste des défauts qu'il avait, il a demandé à Camila d'arrêter une fois pour toutes de se souvenir de tout.

Mais mon accès d’humeur n’avait même pas effacé son sourire.
Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer calmement :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Tradabordo a dit…

Mais mon accès d’humeur n’avait même pas effacé son sourire [le « même » modifie un peu le sens… attention à la réécriture ; tu travailles bien en ce moment, mais que ça ne te fasse pas déborder des marges ;-)].
Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer calmement :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Justine a dit…

Mais mon accès d’humeur n’avait pas effacé son sourire.
Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer calmement :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Tradabordo a dit…

Mais mon accès d’humeur n’avait pas effacé son sourire. Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer calmement [ça m'embête, les deux adverbes en « -ment »] :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Justine a dit…

Mais mon accès d’humeur n’avait pas effacé son sourire. Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer, sereine :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

Tradabordo a dit…

Mais mon accès d’humeur n’avait pas effacé son sourire. Elle m’avait regardé longuement, avant de s'asseoir et de déclarer, sereine :
— Notre fils a un mois. Et ça, ça se fête !
Je m’étais assis et l’avais dévisagée. L’espace d’un instant, j'avais été déconcerté. Je lui avais demandé si elle était enceinte, et elle avait répondu oui.
J’avais aussitôt éprouvé de la rancœur.

OK.