vendredi 31 octobre 2014

Projet Annelise 2 – phrases 42-43

Un movimiento discreto, sin sonido, sin sorber, simplemente llevar el contenido a uno, a su boca. Todo lo que necesitó fue un lápiz y su mano izquierda. No saben cómo lo hizo, yo lo puedo imaginar: Didier mantiene las manos cruzadas, esconde el lápiz entre el gesto penitente, sonriendo para esfumar esa leve capa de sospecha que engrosa y alza la ceja de la psicóloga que lo observa.

Traduction temporaire :
Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement porter le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'effacer cette légère couche de suspicion qui grossit et fait se relever le sourcil de la psychologue par laquelle il est observé.

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement emmener le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, moi j'arrive à imaginer : Didier maintient ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste pénitent tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion qui fait grossir et se relever le sourcil de la psychologue qui l'observe.

Tradabordo a dit…

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement emmener le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, moi j'arrive à imaginer : Didier maintient ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste [« de » ?] pénitent [virgule] tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion qui fait grossir [???] et se relever le sourcil de la psychologue qui l'observe.

Anonyme a dit…

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement emmener le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, moi j'arrive à imaginer : Didier maintient ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion grossissant et faisant se relever le sourcil de la psychologue qui l'observe.

Tradabordo a dit…

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement emmener [incorrect] le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, [cheville : « mais » ?] moi [toujours une virgule entre « moi » et « je »] j'arrive à imaginer : Didier maintient [bof] ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion grossissant et faisant se relever le sourcil de la psychologue qui l'observe [la fin manque de clarté].

Anonyme a dit…

Annelise L

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement amener le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : Didier, observé, garde ses mains jointes, dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion grossissant et faisant se relever le sourcil de la psychologue.

Anonyme a dit…

Annelise L
Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement apporter le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : observé, Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion grossissant et faisant se relever le sourcil de la psychologue.

Tradabordo a dit…

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement apporter [« porter »] le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : observé [rhô non, là, tu changes trop et c'est bizarre, en plus], Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion grossissant et faisant se relever le sourcil de la psychologue.

Anonyme a dit…

Annelise L

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement porter le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper cette légère couche de suspicion grossissant et faisant se relever le sourcil de la psychologue par laquelle il est observé.

Tradabordo a dit…

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement porter le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'estomper [« effacer » ?] cette légère couche de suspicion grossissant [« qui grossit ?»] et faisant [« fait » ?] se relever le sourcil de la psychologue par laquelle il est observé.

Anonyme a dit…

Annelise L

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement porter le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'effacer cette légère couche de suspicion qui grossit et fait se relever le sourcil de la psychologue par laquelle il est observé.

Tradabordo a dit…

Un mouvement discret, sans bruit, sans avaler, simplement porter le contenu à quelqu'un, vers sa bouche. Il n'eut besoin que d'un crayon et de sa main gauche. On ne sait pas comment il procéda, mais moi, j'arrive à imaginer : Didier garde ses mains jointes, il dissimule le crayon derrière son geste de pénitent, tout en souriant, afin d'effacer cette légère couche de suspicion qui grossit et fait se relever le sourcil de la psychologue par laquelle il est observé.

OK.