lundi 27 octobre 2014

Projet Irène – phrases 183-186

¡Nunca van a hacer una LEY SECA de ese tipo! ¿Me entendés, la concha de tu madre? Soy de Villa Martelli, entonces grito, ¡aguante Martelli!, y disparo a ciegas para asustarlo, dos tiros en dirección a la barra. Y lo miro a los ojos.

Traduction temporaire :
Tu piges, putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je hurle : résiste Martelli ! et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du comptoir. Et je le regarde droit dans les yeux.

6 commentaires:

IRENE a dit…

La 1° phrase fait partie de la trad précédente!

Tu m’entends, putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je crie : résiste Martelli !, et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du zinc. Et je le regarde droit dans les yeux.

Tradabordo a dit…

Tu es sûre qu'il ne répète pas ?

Tu m’entends [ou dans le sens de « comprendre » ? Je ne sais pas…], putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je crie : résiste Martelli ! et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du zinc [« comptoir » ?]. Et je le regarde droit dans les yeux.

IRENE a dit…

Non, il ne répète pas.
Tu comprends [alors en enlevant le possessif?], putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je crie : résiste Martelli ! et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du comptoir. Et je le regarde droit dans les yeux.

Tradabordo a dit…

Tu comprends [alors en enlevant le possessif? « Pige » ?], putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je crie [« hurle »] : résiste Martelli ! et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du comptoir. Et je le regarde droit dans les yeux.

IRENE a dit…


Tu piges, putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je hurle : résiste Martelli ! et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du comptoir. Et je le regarde droit dans les yeux.

Tradabordo a dit…

Tu piges, putain de ta merde ? Je suis de Villa Martelli, alors je hurle : résiste Martelli ! et je tire à l’aveuglette pour l’effrayer, deux coups en direction du comptoir. Et je le regarde droit dans les yeux.

OK.