jeudi 30 octobre 2014

Projet Hélène 2 – phrase 149

Luizinho recuerda que lloró cuando ella se quedó dormida por fin, porque imaginó que ya no despertaría nunca más, y cuando murió, dos meses después, ya casi había aceptado que había muerto, pues el último espasmo se llevó solo el pedazo final de un cuerpo que permanecía intacto apenas por una fuerza de voluntad que combatía con las pocas ganas que tenía de quedarse.

Traduction temporaire :
Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’était endormie, s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Lorsque, deux mois plus tard, elle était décédée, il avait presque déjà accepté sa mort, le dernier spasme ayant emporté l'ultime morceau d’un corps, qui malgré le peu d’envie qu'il avait de rester, était encore à peu près intact, grâce à une volonté de fer.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’endormit, s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Quand, deux mois plus tard, elle décéda, il avait pour ainsi dire fini par accepter sa mort : le dernier spasme avait emporté seulement le morceau final d’un corps encore à peu près intact grâce à une volonté de fer qui luttait contre le peu d’envie que, lui, avait de rester.

Tradabordo a dit…

Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’endormit [PQP ?], s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Quand, deux mois plus tard, elle décéda [idem], il avait pour ainsi dire [dommage de griller un « dire » pour si peu] fini par accepter sa mort : le dernier spasme avait emporté seulement le morceau final [maladroit ; reprends] d’un corps encore à peu près intact grâce à une volonté de fer qui luttait contre le peu d’envie que, lui, avait de rester.

Hélène a dit…

Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’était endormie, s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Lorsque, deux mois plus tard, elle était décédée, il avait presque fini par accepter sa mort : le dernier spasme avait emporté l'ultime morceau d’un corps encore à peu près intact grâce à une volonté de fer qui luttait contre le peu d’envie qu'il avait de rester.

Tradabordo a dit…

Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’était endormie, s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Lorsque, deux mois plus tard, elle était décédée, il avait presque fini par [plutôt dans le sens de « déjà », non ?] accepter sa mort : [virgule] le dernier spasme avait [« ayant »] emporté l'ultime morceau d’un corps encore à peu près intact grâce à une volonté de fer qui luttait contre le peu d’envie qu'il avait de rester [peu clair].

Hélène a dit…

Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’était endormie, s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Lorsque, deux mois plus tard, elle était décédée, il avait presque déjà accepté sa mort, le dernier spasme ayant emporté l'ultime morceau d’un corps, qui malgré le peu d’envie qu'il avait de rester, était encore à peu près intact, grâce à une volonté de fer.

Tradabordo a dit…

Luizhinho se rappelle avoir pleuré quand enfin elle s’était endormie, s’imaginant qu’elle ne se réveillerait plus jamais. Lorsque, deux mois plus tard, elle était décédée, il avait presque déjà accepté sa mort, le dernier spasme ayant emporté l'ultime morceau d’un corps, qui malgré le peu d’envie qu'il avait de rester, était encore à peu près intact, grâce à une volonté de fer.

OK.