vendredi 31 octobre 2014

Projet Elena / Céline – phrases 82-86

Allí pescábamos bagres, unos bagres gordos, bigotudos y con feo olor. Papá les cortaba enseguida los bigo­tes, donde tienen un aguijón. Después, a la no­che,­protestando mucho, mamá preparaba los bagres en una mayone­sa de pescado. Mientras estábamos pescando no hablá­bamos casi. Ha­bía que estar callados para no espantar a los peces.

Traduction temporaire :
On y pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Le soir, maman les préparait avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

9 commentaires:

Elena a dit…

Là, on pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et malodorants. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont un aiguillon. Puis, le soir, sans cesser de râler, maman préparait les poissons-chats avec de la mayonnaise. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

Tradabordo a dit…

Là [nécessaire ? Surtout que tu l'as un peu après], on pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et malodorants [« qui sentaient horriblement mauvais » – pas plus naturel pour une petite fille ?]. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont un [possessif ?] aiguillon. Puis, le soir, sans cesser de râler, maman [pas une syntaxe plus fluide ?] préparait les poissons-chats avec de la mayonnaise. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

Elena a dit…

on pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Puis, le soir, maman préparait les poissons-chats avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

Tradabordo a dit…

Majuscule.

Elena a dit…

On y pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Puis, le soir, maman préparait les poissons-chats avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

Tradabordo a dit…

On y pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Puis [nécessaire ?], le soir, maman préparait les poissons-chats [« les préparait », tout simplement ?] avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

Elena a dit…

On y pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Le soir, maman les préparait avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

Tradabordo a dit…

On y pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Le soir, maman les préparait avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

On y pêchait des poissons-chats, de gros poissons-chats moustachus et qui sentaient horriblement mauvais. Papa leur coupait tout de suite les barbillons, là où ils ont leur aiguillon. Le soir, maman les préparait avec de la mayonnaise, sans cesser de râler. Lorsqu'on pêchait, on ne parlait presque pas. Il fallait garder le silence pour ne pas faire peur aux poissons.

OK.