lundi 27 octobre 2014

Projet Hélène 3 – phrase 191

Así por lo menos lo recordaba Aliaksei, como un viejo con una sonrisa lo suficientemente grande como para mostrar toda su dentadura, como un viejo que, por lo que sabía, no había dejado Kiev, ni cuando llegaron los alemanes y cercaron la ciudad y mataron a más de medio millón de soldados rusos, y sólo se mudó a Pripyat cuando construyeron la planta y la bautizaron con el nombre de Central Eléctrica Nuclear Lenin, de ahí nunca se fue, mucho menos cuando evacuaron la zona.

Traduction temporaire :
Du moins, Aliaksei se le rappelait-il ainsi, comme un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser voir toutes ses dents, comme un vieil homme qui, d'après ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands avaient débarqué, assiégé la ville et massacré plus d'un demi-million de soldats russes, et qui n'avait déménagé que pour aller à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, et d’où il n'était plus jamais parti, encore moins lorsque la zone avait été évacuée.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Du moins, Aliaksei s’en souvenait ainsi, comme d’un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser entrevoir toutes ses dents, comme d’un vieil homme qui, de ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands débarquèrent, entourèrent la ville et massacrèrent plus d'un demi-million de soldats russes, et qui ne déménagea qu'à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, d’où il ne partit jamais, encore moins lorsque la zone fut évacuée.

Tradabordo a dit…

Du moins, Aliaksei s’en souvenait ainsi [« se le rappelait-il »], comme d’[supprime]un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser entre[supprime]voir toutes ses dents, comme d’[idem]un vieil homme [il vaut mieux répéter ; là, le contournement est pire] qui, de [« d'après »] ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands débarquèrent [temps ; idem pour la suite…], entourèrent la ville et massacrèrent plus d'un demi-million de soldats russes, et qui ne déménagea qu'à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, d’où il ne partit jamais, encore moins lorsque la zone fut évacuée.

Hélène a dit…

Du moins, Aliaksei se le rappelait-il comme un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser voir toutes ses dents, comme un vieil homme qui, d'après ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands avaient débarqué, entouré la ville et massacré plus d'un demi-million de soldats russes, et qui n'avait déménagé qu'à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, d’où il n'était jamais parti, encore moins lorsque la zone avait été évacuée.

Tradabordo a dit…

Du moins, Aliaksei se le rappelait-il [il faut quand même ton « ainsi, »] comme un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser voir toutes ses dents, comme un vieil homme qui, d'après ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands avaient débarqué, entouré [mal dit ici] la ville et massacré plus d'un demi-million de soldats russes, et qui n'avait déménagé qu [« que pour aller » ou quelque chose comme ça ?]'à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, [« et »] d’où il n'était [« plus » ?] jamais parti, encore moins lorsque la zone avait été évacuée.

Hélène a dit…

Du moins, Aliaksei se le rappelait-il ainsi, comme un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser voir toutes ses dents, comme un vieil homme qui, d'après ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands avaient débarqué, assiégé la ville et massacré plus d'un demi-million de soldats russes, et qui n'avait déménagé que pour aller à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, et d’où il n'était plus jamais parti, encore moins lorsque la zone avait été évacuée.

Tradabordo a dit…

Du moins, Aliaksei se le rappelait-il ainsi, comme un vieil homme au sourire suffisamment large pour laisser voir toutes ses dents, comme un vieil homme qui, d'après ce qu’il savait, n’avait pas quitté Kiev, pas même lorsque les Allemands avaient débarqué, assiégé la ville et massacré plus d'un demi-million de soldats russes, et qui n'avait déménagé que pour aller à Pripyat, au moment de la construction de la centrale, alors baptisée Centrale Électrique Nucléaire Lénine, et d’où il n'était plus jamais parti, encore moins lorsque la zone avait été évacuée.

OK.