mardi 28 octobre 2014

Projet Élodie 9 – phrases 84-86

Constanza, mi hija…, las dos ven en mi interior algo que yo necesito descubrir. Me siento partida en dos, la que enloquece y grita, pega, descalifica, y la otra, la melliza, la que ama, cuida hace las galletitas preferidas de cada uno, cuenta cuentos inventados cada noche. Y cuando el dolor es muy intenso, vuelo, aspiro el aroma de los jazmines, veo las nubes de colores, todo se desdibuja, llega la calma...

Traduction temporaire :
Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir. Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, blâme et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

10 commentaires:

Elodie a dit…

Constanza, ma fille… Les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens partagée : entre celle qui devient folle et crie, frappe, se discrédite et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait les gâteaux préférés de chacun d'eux et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Tradabordo a dit…

Constanza, ma fille… [« Toutes »] Les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens partagée [pas exactement ce que dit la V.O.] : entre celle qui devient folle et crie [« hurle »], frappe, se discrédite [?] et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait les gâteaux préférés de chacun d'eux [mal dit] et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole [virgule] je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Elodie a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, se discrédite en tant que mère et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Tradabordo a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, se discrédite en tant que mère [mais en V.O., pas le « se »] et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Elodie a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, désavoue et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Tradabordo a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, désavoue [ça n'est pas dans le sens où elle dit des choses désobligeantes ? Fouille le dico unilingue] et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Elodie a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, désavoue et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…


Dans le dictionnaire unilingue je n'ai trouvé que :
descalificar.
(De des- y calificar).
1. tr. Desacreditar, desautorizar o incapacitar.
2. tr. Eliminar a un deportista o a un equipo de una competición como sanción por faltar a las normas establecidas.

C'est pour ça que je ne comprends pas et que j'ai essayé de mettre "se" avant pour que ce soit compréhensible.

Tradabordo a dit…

Demande son avis à Elena.

Elodie a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, blâme et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

Tradabordo a dit…

Constanza, ma fille… Toutes les deux voient en moi quelque chose que j'ai besoin de découvrir.
Je me sens coupée en deux : celle qui devient folle et hurle, frappe, blâme et l'autre, la jumelle, celle qui aime, prend soin de ses enfants, fait leurs gâteaux préférés et qui raconte des histoires inventées tous les soirs. Et quand la douleur est plus intense, je vole, je respire le parfum des jasmins, je regarde les nuages de couleurs, tout s'efface, le calme revient…

OK.