jeudi 23 octobre 2014

Projet Élodie 9 – phrases 80-83

Mariana también confía en mí, recuerdo cuando tenía unos cuatro añitos me agarraba la cara entre sus manos y me decía:
¡Qué bonita y dulce sos mami! Te quiero hasta el cielo ida y vuelta; ¡cuando sea grande quiero ser como vos!
Cuando me mira con esos ojos tristes, como esperando que yo reaccione, que despierte, esos ojos siento que me acunan, me calman, entran tan dentro de mí, a mi esencia, ella confía en que yo puedo.

Traduction temporaire :
Mariana, elle aussi, elle a confiance en moi. Je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle prenait ma tête entre ses mains et me disait :
— Comme tu es gentille et douce, maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; plus tard, je voudrais être comme toi !

Lorsqu'elle me regarde tristement, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, j'ai l'impression que ces yeux me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence même, elle a confiance en mes capacités.

6 commentaires:

Elodie a dit…

Mariana aussi a confiance en moi, je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle me prenait la tête entre ses mains et me disait :
— Tu es gentille et douce maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; quand je serai grande, je voudrais être comme toi !
Lorsqu'elle me regarde avec ces yeux tristes, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, je sens que ces yeux me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence-même, elle a confiance en ce que je peux faire.

Tradabordo a dit…

Mariana [« , elle »] aussi [«, elle » ? Pour les deux, regarde ce que tu préfères et tranches] a confiance en moi, [point ?] je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle me prenait la tête entre ses mains et me disait :
— Tu [mais et le « qué » ?] es gentille et douce maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; quand [tu en as un avant ; essaie de contourner] je serai grande, je voudrais être comme toi !
Lorsqu'elle me regarde avec ces yeux tristes, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, je sens que [ou avec « avoir l'impression » ? Essaie…] ces yeux me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence même, elle a confiance en ce que je peux faire [interprétation ?].

Elodie a dit…

Mariana, elle aussi, elle a confiance en moi. Je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle me prenait la tête entre ses mains et me disait :
— Comme tu es gentille et douce maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; plus tard, je voudrais être comme toi !
Lorsqu'elle me regarde avec ces yeux tristes, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, j'ai l'impression que ces yeux me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence même, elle a confiance en mes capacités.

Tradabordo a dit…

Mariana, elle aussi, elle a confiance en moi. Je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle me prenait la tête [« prenait ma… »] entre ses mains et me disait :
— Comme tu es gentille et douce [virgule] maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; plus tard, je voudrais être comme toi !
Lorsqu'elle me regarde avec ces yeux tristes, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, j'ai l'impression que ces yeux [débrouille-toi pour supprimer un des deux « yeux »… sans doute le premier est-il plus facile à changer] me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence même, elle a confiance en mes capacités.

Elodie a dit…

Mariana, elle aussi, elle a confiance en moi. Je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle prenait ma tête entre ses mains et me disait :
— Comme tu es gentille et douce, maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; plus tard, je voudrais être comme toi !
Lorsqu'elle me regarde tristement, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, j'ai l'impression que ces yeux me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence même, elle a confiance en mes capacités.

Tradabordo a dit…

Mariana, elle aussi, elle a confiance en moi. Je me souviens que quand elle avait quatre ans, elle prenait ma tête entre ses mains et me disait :
— Comme tu es gentille et douce, maman ! Je t'aime grand comme l'univers ; plus tard, je voudrais être comme toi !
Lorsqu'elle me regarde tristement, comme si elle espérait que je réagisse, que je me réveille, j'ai l'impression que ces yeux me bercent, me calment, ils entrent tellement à l'intérieur de moi, dans mon essence même, elle a confiance en mes capacités.

OK.