lundi 27 octobre 2014

Projet Justine 3 – phrases 32-34

Una tarde llegó a la oficina con un André helado, un espumante californiano barato que tomábamos cada vez que ella tenía algo que celebrar. La vi parada en la puerta de mi oficina, con esa botella y dos copas en las manos. Yo quise sonreír, juro que quise sonreír, como lo había hecho en otras oportunidades ante una de sus tiernas impertinencias. 

Traduction temporaire :
Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais, un mousseux californien bon marché, que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue là, immobile sur le seuil, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais essayé de sourire, je vous jure que j’avais essayé de sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, en réaction à l’une de ses tendres extravagances.

7 commentaires:

Justine a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais, un mousseux californien bon marché que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue immobile sur le seuil de mon bureau, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais voulu sourire, je vous jure que j’avais voulu sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, face à l’une de ses tendres extravagances.

Tradabordo a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais [c'est quoi ?], un mousseux californien bon marché [virgule] que [« dont » ? Je ne sais pas…] nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue immobile sur le seuil de mon bureau [tu l'as déjà avant ; vois si tu peux changer l'un des deux], avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais voulu sourire, je vous jure que j’avais voulu sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, face à [pas convaincue…] l’une de ses tendres extravagances.

Justine a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais [c'est quoi ? Le nom d'un vin mousseux de Californie, j'ai vérifié sur un site viticole], un mousseux californien bon marché, que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue immobile sur le seuil, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais voulu sourire, je vous jure que j’avais voulu sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, en réaction à l’une de ses tendres extravagances.

Tradabordo a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais, un mousseux californien bon marché, que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue [virgule ?] immobile sur le seuil, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais voulu [« essayé de » ?] sourire, je vous jure que j’avais voulu [idem ?] sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, en réaction à l’une de ses tendres extravagances [sûre ?].

Justine a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais, un mousseux californien bon marché, que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue, immobile sur le seuil, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais essayé de sourire, je vous jure que j’avais essayé de sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, en réaction à l’une de ses tendres extravagances [sûre ? Voilà ce qu'en dit le DRAE : Dicho o hecho fuera de propósito.Je trouve qu' « extravagance » serait plus approprié qu'« impertinence » dans le contexte, et je n'ai pas osé aller jusqu'à « absurdité » ou « bêtise »].

Justine a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais, un mousseux californien bon marché, que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue, immobile sur le seuil, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais essayé de sourire, je vous jure que j’avais essayé de sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, en réaction à l’une de ses tendres extravagances [sûre ? Voilà ce qu'en dit le DRAE : Dicho o hecho fuera de propósito.Je trouve qu' « extravagance » serait plus approprié qu'« impertinence » dans le contexte, et je n'ai pas osé aller jusqu'à « absurdité » ou « bêtise »].

Tradabordo a dit…

Une après-midi, elle avait débarqué au bureau avec un André bien frais, un mousseux californien bon marché, que nous buvions chaque fois qu’elle avait quelque chose à fêter. Je l’avais vue là, immobile sur le seuil, avec cette bouteille et deux verres dans les mains. J’avais essayé de sourire, je vous jure que j’avais essayé de sourire, comme je l’avais fait en d’autres occasions, en réaction à l’une de ses tendres extravagances.

OK.