mardi 14 octobre 2014

Projet Lorena 9 – phrases 6-7

Se la veía volver con su bolsa de las compras, cabeza gacha mirando al suelo, tratando de es- cabullirse entre los árboles de las veredas, para que nadie pudiera saludarla, pisando las hojas secas, seria. Nunca una sonrisa.

Traduction temporaire :
On la voyait rentrer avec son sac de courses, tête basse, les yeux rivés au sol, tentant de filer entre les arbres du sentier pour que personne ne puisse la saluer, marchant sur les feuilles sèches, sérieuse. Jamais un sourire.

6 commentaires:

GARZON ARANDA Lorena a dit…

On la voyait rentrer avec son sac de la ménagère, sa tête basse en regardant le sol, en essayant de filer entre les arbres du sentier, pour que personne puisse la saluer, en marchant sur les feuilles secs, sérieuse. Jamais un sourire.

Tradabordo a dit…

On la voyait rentrer avec son sac de la ménagère [non : « sac de…………… » ? Plus littéral], sa [pas besoin du possessif ici] tête basse en regardant [ce sera mieux en mettant « les yeux……… »] le sol, en [non] essayant de filer [pas tout à fait ce verbe-là] entre les arbres du sentier, pour que personne [manque quelque chose ici] puisse la saluer, en [non] marchant sur les feuilles secs, sérieuse. Jamais un sourire.

GARZON ARANDA Lorena a dit…

On la voyait rentrer avec son sac de courses, tête basse, les yeux rivés sur le sol, tentant de filer entre les arbres du sentier, pour que personne ne puisse la saluer, marchant sur les feuilles sèches, sérieuse. Jamais un sourire.

Tradabordo a dit…

On la voyait rentrer avec son sac de courses, tête basse, les yeux rivés sur le [« au » ? Vérifiez] sol, tentant de filer entre les arbres du sentier, [supprimez la virgule] pour que personne ne puisse la saluer, marchant sur les feuilles sèches, sérieuse. Jamais un sourire.

GARZON ARANDA Lorena a dit…

On la voyait rentrer avec son sac de courses, tête basse, les yeux rivés au sol, tentant de filer entre les arbres du sentier pour que personne ne puisse la saluer, marchant sur les feuilles sèches, sérieuse. Jamais un sourire.

Tradabordo a dit…

On la voyait rentrer avec son sac de courses, tête basse, les yeux rivés au sol, tentant de filer entre les arbres du sentier pour que personne ne puisse la saluer, marchant sur les feuilles sèches, sérieuse. Jamais un sourire.

OK.