samedi 4 avril 2015

Projet Hélène 4 – phrases 69-78

Pianissimo

Estaba triste. No había podido contemplarla desnuda. Sabía que no lo haría de nuevo. Había visto partes desnudas de su cuerpo. Había besado sus tetas con furia. Sus gemidos lo empujaban a ir con todo contra el objetivo y bombardearlo sin piedad. Los drones los habían dejado con vida, ése era su peor error, ahora ellos estaban furiosos y querían gozar. Los drones odian a los que son libres, a los que gozan. Esta vez habían sobrevivido, pero, ¿por cuánto tiempo más? Eso ninguno de los dos lo sabía.

Traduction temporaire :

Pianissimo

Il était triste. Il n’avait pas pu la contempler dévêtue. Il savait qu’il ne le referait plus. Il avait vu des parties de son corps nu. Il avait embrassé ses seins avec furie. Ses gémissements l’incitaient à tout donner pour atteindre son objectif et le bombarder sans pitié. Les drones les avaient laissés en vie ; c’était leur pire erreur. Maintenant, les amoureux étaient enragés et voulaient jouir. Les drones haïssent ceux qui sont libres, ceux qui jouissent. Ils avaient survécu cette fois-ci, mais pour combien de temps encore ? Aucun des deux ne le savait.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Pianissimo

Il était triste. Il n’avait pas pu la contempler nue. Il savait qu’il ne le referait plus. Il avait vu des parties de son corps nu. Il avait embrassé ses seins avec furie. Ses gémissements l’incitaient à tout donner pour parvenir à l’objectif et le bombarder sans pitié. Les drones les avaient laissés en vie ; c’était leur pire erreur. Maintenant, les amoureux étaient furieux et voulaient jouir. Les drones haïssent ceux qui sont libres, ceux qui jouissent. Ils avaient survécu cette fois-ci, mais pour combien de temps encore ? Aucun des deux ne le savait.

Tradabordo a dit…

Pianissimo

Il était triste. Il n’avait pas pu la contempler nue [« dévêtues » // tu as « nu » après]. Il savait qu’il ne le referait plus. Il avait vu des parties de son corps nu. Il avait embrassé ses seins avec furie. Ses gémissements l’incitaient à tout donner pour parvenir à l’objectif [« à ses fins » ?] et le bombarder sans pitié. Les drones les avaient laissés en vie ; c’était leur pire erreur. Maintenant, les amoureux étaient furieux [tu as « furie » avant] et voulaient jouir. Les drones haïssent ceux qui sont libres, ceux qui jouissent. Ils avaient survécu cette fois-ci, mais pour combien de temps encore ? Aucun des deux ne le savait.

Hélène a dit…

Pianissimo

Il était triste. Il n’avait pas pu la contempler dévêtue. Il savait qu’il ne le referait plus. Il avait vu des parties de son corps nu. Il avait embrassé ses seins avec furie. Ses gémissements l’incitaient à tout donner pour parvenir à l’objectif [« à ses fins » ? // Ok, mais pour la suite, cela me pose un petit problème... "et les bombarder sans pitié" = bizarre / "et la bombarder sans pitié"... = euhhh, ce n'est pas tout à fait ce dit la VO ;-))et le bombarder sans pitié. Les drones les avaient laissés en vie ; c’était leur pire erreur. Maintenant, les amoureux étaient enragés et voulaient jouir. Les drones haïssent ceux qui sont libres, ceux qui jouissent. Ils avaient survécu cette fois-ci, mais pour combien de temps encore ? Aucun des deux ne le savait.

Tradabordo a dit…

Je te propose :

Pianissimo

Il était triste. Il n’avait pas pu la contempler dévêtue. Il savait qu’il ne le referait plus. Il avait vu des parties de son corps nu. Il avait embrassé ses seins avec furie. Ses gémissements l’incitaient à tout donner pour atteindre son objectif et le bombarder sans pitié. Les drones les avaient laissés en vie ; c’était leur pire erreur. Maintenant, les amoureux étaient enragés et voulaient jouir. Les drones haïssent ceux qui sont libres, ceux qui jouissent. Ils avaient survécu cette fois-ci, mais pour combien de temps encore ? Aucun des deux ne le savait.

OK ?

Hélène a dit…

Pianissimo

Il était triste. Il n’avait pas pu la contempler dévêtue. Il savait qu’il ne le referait plus. Il avait vu des parties de son corps nu. Il avait embrassé ses seins avec furie. Ses gémissements l’incitaient à tout donner pour atteindre son objectif et le bombarder sans pitié. Les drones les avaient laissés en vie ; c’était leur pire erreur. Maintenant, les amoureux étaient enragés et voulaient jouir. Les drones haïssent ceux qui sont libres, ceux qui jouissent. Ils avaient survécu cette fois-ci, mais pour combien de temps encore ? Aucun des deux ne le savait.

OK.

Tradabordo a dit…

Bien… alors tu peux relire. Envoie quand c'est prêt. Remets bien la mise en page initiale.