lundi 16 février 2015

Marie / Laura – phrases 26-30

Sobre el ronquido de la corriente se oían los llantos y lamentos de algunos sobrevivientes; voces que repetían a gritos nombres que ya no responderían. A lo lejos, en el bosquecillo, los que hablan tenido tiempo de correr agitaban los brazos. El la llevaría ahí apenas cediera la corriente y la dejaría pasmada y muda entre los restos fantasmales de Calderas. Abre los ojos y acaricia el pasto tupido y verde. Una de las viejas se ha separado del grupo, su sombra alargada se aproxima a ella y le acaricia los cabellos.

Traduction temporaire :

Au-dessus du ronflement du courant, on entendait les sanglots et les lamentations de quelques survivants ; des voix qui répétaient en criant des noms, qui ne répondraient plus. Au loin, dans le petit bois, ceux qui avaient eu le temps de courir agitaient les bras. Il l'emmènerait là-bas, le courant tout juste calmé, et la laisserait hébétée et sans voix au milieu des restes fantasmatiques de Calderas. Elle ouvre les yeux et caresse l'herbe touffue et verte. Une des vieilles s'est écartée du groupe, son ombre allongée s'approche d'elle et lui caresse les cheveux.

7 commentaires:

Marie a dit…

Au-dessus du ronflement du courant on entendait les sanglots et les lamentations de quelques survivants; des voix qui répétaient en criant des noms, qui désormais ne répondraient plus. Au loin, dans le petit bois, ceux qui avaient eu le temps de courir agitaient leurs bras. Il l'emmènerait là-bas, à peine le courant arrivé et la laisserait hébétée et sans voix parmi les restes fantasmatiques de Calderas. Elle ouvre les yeux et caresse la pâture touffue et verte. Une des vieille s'est éloignée du groupe, son ombre allongée s'approche d'elle et lui caresse les cheveux.

Tradabordo a dit…

Rétablissez vos espaces.

Unknown a dit…

Au-dessus du ronflement du courant, on entendait les sanglots et les lamentations de quelques survivants ; des voix qui répétaient en criant des noms, qui désormais ne répondraient plus. Au loin, dans le petit bois, ceux qui avaient eu le temps de courir agitaient leurs bras. Il l'emmènerait là-bas, à peine le courant arrivé, et la laisserait hébétée et sans voix parmi les restes fantasmatiques de Calderas. Elle ouvre les yeux et caresse la pâture touffue et verte. Une des vieille s'est éloignée du groupe, son ombre allongée s'approche d'elle et lui caresse les cheveux.

Tradabordo a dit…

Au-dessus du ronflement du courant, on entendait les sanglots et les lamentations de quelques survivants ; des voix qui répétaient en criant des noms [ou en mettant « des noms » avant ? Essayez et voyez ce qui est mieux. Perso, j'hésite…], qui désormais [ajout nécessaire ?] ne répondraient plus. Au loin, dans le petit bois, ceux qui avaient eu le temps de courir agitaient leurs [possessif nécessaire ?] bras. Il l'emmènerait là-bas, à peine le courant arrivé [CS], et la laisserait hébétée et sans voix parmi [« au milieu » ?] les restes fantasmatiques de Calderas. Elle ouvre les yeux et caresse la pâture [pas très naturel] touffue et verte. Une des vieille [grammaire] s'est éloignée [« écarter » pour éviter la répétition avec « loin » ; pas affreux, donc si vous voulez, vous pouvez laisser] du groupe, son ombre allongée s'approche d'elle et lui caresse les cheveux.

Unknown a dit…

Au-dessus du ronflement du courant, on entendait les sanglots et les lamentations de quelques survivants ; des voix qui répétaient en criant des noms, qui ne répondraient plus. Au loin, dans le petit bois, ceux qui avaient eu le temps de courir agitaient les bras. Il l'emmènerait là-bas, le courant tout juste calmé, et la laisserait hébétée et sans voix au milieu des restes fantasmatiques de Calderas. Elle ouvre les yeux et caresse l'herbe touffue et verte. Une des vieilles s'est écartée du groupe, son ombre allongée s'approche d'elle et lui caresse les cheveux.

Tradabordo a dit…

Au-dessus du ronflement du courant, on entendait les sanglots et les lamentations de quelques survivants ; des voix qui répétaient en criant des noms, qui ne répondraient plus. Au loin, dans le petit bois, ceux qui avaient eu le temps de courir agitaient les bras. Il l'emmènerait là-bas, le courant tout juste calmé, et la laisserait hébétée et sans voix au milieu des restes fantasmatiques de Calderas. Elle ouvre les yeux et caresse l'herbe touffue et verte. Une des vieilles s'est écartée du groupe, son ombre allongée s'approche d'elle et lui caresse les cheveux.

OK.

Marie ?

Marie a dit…

OK