jeudi 12 février 2015

Projet Hélène 4 – phrases 25-28


Boris Vian: El correr como la física de los amigos, del choche, por eso pata, patafísica, porque adentro somos legión. Correr como metafísica, que sería exactamente lo opuesto a salirse del mundo de las apariencias, es decir, correr como un meter hasta el fondo, hundirse en lo físico, en la misma mierda. Una línea omega, corro porque quiero perder peso. Una línea teta, corro porque en mi otra vida fui choro, lumpen, delincuente, criminal.

Traduction temporaire :

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; d'où pataphysique (1), car au fond nous sommes légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne thêta : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

13 commentaires:

Hélène a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du choc ; voilà pourquoi potophysique, car à l’intérieur, nous sommes une légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, courir comme mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours car je veux perdre du poids. Une ligne sein : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant et criminel.

Quelques doutes... En revanche, je viens de réaliser que "patafísica" est un mot valise : pata [= un copain, un pote au Pérou] + física. Du coup, il faudrait modifier ce qui précède... À la relecture, si tu veux.

Tradabordo a dit…

Retourne à la section d'avant pour corriger + demande à Elena si tu as des doutes qui relèvent du sens.
Quand on aura fini de l'autre côté, refais-moi signe ici.

Tradabordo a dit…

Ah… donc, dis-moi si je peux évaluer ta trad ou si, dans l'intervalle, tu as eu d'autres infos pour moduler, etc.

Hélène a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du copain ; voilà pourquoi potophysique, car à l’intérieur, nous sommes une légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours car je veux perdre du poids. Une ligne nichon : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

En combinant mes dernières réflexions avec les commentaires d'Elena.

Tradabordo a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du copain [« pote » ? // sinon, je n'y comprends rien, à ta phrase ;-) C'est quoi, l'idée ?] ; voilà pourquoi potophysique [non, non : Vian = la pataphysique], car à l’intérieur, nous sommes une légion.

Faisons déjà ça.

Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours car je veux perdre du poids. Une ligne nichon : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

Hélène a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; voilà pourquoi pataphysique, car à l’intérieur, nous sommes une légion.

Ne devrait-on pas insérer une note de bas de page pour expliquer qu'au Pérou "pata" signifie "ami". Le jeu de mots est intraduisible en français...

Tradabordo a dit…

Si, vas-y.

Hélène a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; voilà pourquoi pataphysique (1), car à l’intérieur, nous sommes une légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne nichon : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

Obligée de mettre la note de bas de page de façon manuelle. Le copier coller ne fonctionne pas avec ce type d'élément.

Tradabordo a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; voilà pourquoi pataphysique (1), car à l’intérieur [au sens figuré en V.O., non ? J'hésite, du coup…], nous sommes une légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne nichon [la lettre grecque ?] : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

Hélène a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; voilà pourquoi pataphysique (1), car au fond nous sommes une légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne thêta : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

Tradabordo a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; voilà pourquoi [« d'où » ?] pataphysique (1), car au fond nous sommes une [nécessaire ?] légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit, [j'hésite pour la virgule] courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne thêta : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été [« un » ? Idem pour les autres ? J'hésite…] voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

Hélène a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; d'où pataphysique (1), car au fond nous sommes légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne thêta : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

Tradabordo a dit…

Boris Vian : Il s’agit de courir comme la physique des amis, du pote ; d'où pataphysique (1), car au fond nous sommes légion. Courir comme une métaphysique – ce serait exactement le contraire de sortir du monde des apparences –, autrement dit courir de la même manière que mettre jusqu’au fond, s’enfoncer dans le physique, dans la merde. Une ligne oméga : je cours parce que je veux perdre du poids. Une ligne thêta : je cours parce que dans une autre vie, j’ai été voleur, racaille, délinquant ou criminel.

(1) Au Pérou, le terme « pata » désigne dans le langage courant et familier un copain, un pote.

OK.