lundi 23 février 2015

Projet Hélène 4 – phrases 33-34

Esa necesidad de desplazarse de forma asombrosa entre los elementos de la materialidad como un edificio, un árbol, un muro, una ventana, una señora. Una línea nueva, linea pi, corro porque me encanta el dolor, me encanta sufrir y afligirme castigo, al terminar de correr el cuerpo se encuentra muy adolorido, destruido, hecho mierda y eso me excita.

Traduction temporaire :
Ce besoin de se déplacer de façon bizarre entre les éléments de la matérialité, un bâtiment, un arbre, un mur, une fenêtre, une dame. Une nouvelle ligne, ligne pi : je cours parce que j’adore la douleur, j’adore souffrir et m’infliger des châtiments. Après la course, mon corps est très endolori, détruit, en miettes ; or, cela m’excite.

5 commentaires:

Hélène a dit…

Ce besoin de se déplacer de façon étonnante entre les éléments de la matérialité comme un bâtiment, un arbre, un mur, une fenêtre, une dame. Une nouvelle ligne, ligne pi : je cours parce que j’adore la douleur, j’adore souffrir et m’affliger des châtiments. Après la course, mon corps est très endolori, détruit, en miettes ; or, cela m’excite.

Tradabordo a dit…

Ce besoin de se déplacer de façon étonnante [pas plutôt dans le sens de « bizarre » ?] entre les éléments de la matérialité [virgule ?] comme un bâtiment, un arbre, un mur, une fenêtre, une dame. Une nouvelle ligne, ligne pi : je cours parce que j’adore la douleur, j’adore souffrir et m’affliger [incorrect] des châtiments. Après la course, mon corps est très endolori, détruit, en miettes ; or, cela m’excite.

Hélène a dit…

Ce besoin de se déplacer de façon bizarre entre les éléments de la matérialité, comme un bâtiment, un arbre, un mur, une fenêtre, une dame. Une nouvelle ligne, ligne pi : je cours parce que j’adore la douleur, j’adore souffrir et m’infliger des châtiments. Après la course, mon corps est très endolori, détruit, en miettes ; or, cela m’excite.

Tradabordo a dit…

Ce besoin de se déplacer de façon bizarre entre les éléments de la matérialité, comme [nécessaire ?] un bâtiment, un arbre, un mur, une fenêtre, une dame. Une nouvelle ligne, ligne pi : je cours parce que j’adore la douleur, j’adore souffrir et m’infliger des châtiments. Après la course, mon corps est très endolori, détruit, en miettes ; or, cela m’excite.

Hélène a dit…

Ce besoin de se déplacer de façon bizarre entre les éléments de la matérialité, un bâtiment, un arbre, un mur, une fenêtre, une dame. Une nouvelle ligne, ligne pi : je cours parce que j’adore la douleur, j’adore souffrir et m’infliger des châtiments. Après la course, mon corps est très endolori, détruit, en miettes ; or, cela m’excite.

OK.