lundi 23 février 2015

Projet Justine / Coralie – phrases 132-134

La literatura de masas es un hecho que no se puede negar,  el lector se da cuenta de que, puede haber algo raro, se da cuenta de que está siendo manipulado y no la toma muy en serio,  pero depende del lector. Desgraciadamente en Cuba no tenemos como medir si una, obra funciona o no, si está siendo leída o no. Todo depende del tipo de lector.

Traduction temporaire :
La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, il se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux – enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une œuvre marche ou non, si elle est lue ou pas. Tout dépend du type de lecteur.

8 commentaires:

Justine a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut pas nier. Le lecteur se rend compte, il peut y avoir quelque chose de bizarre, le lecteur se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux, enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une oeuvre marche ou non, si elle est lue ou pas, tout dépend du type de lecteur.

Tradabordo a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut pas [nécessaire ?] nier. Le lecteur se rend compte, [là, je crois qu'il y avait un pb de virgule en V.O. // relis…] il peut y avoir quelque chose de bizarre, le lecteur se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux, enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une oeuvre marche ou non, si elle est lue ou pas, tout dépend du type de lecteur.

Justine a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, le lecteur se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux, enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une oeuvre marche ou non, si elle est lue ou pas, tout dépend du type de lecteur.

Tradabordo a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, le lecteur [ne répète pas] se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux, enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une oeuvre [œ] marche ou non, si elle est lue ou pas, [point, comme en V.O.] tout dépend du type de lecteur.

Justine a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, il se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux, enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une œuvre marche ou non, si elle est lue ou pas. Tout dépend du type de lecteur.

Tradabordo a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, il se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux, [tiret ?] enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une œuvre marche ou non, si elle est lue ou pas. Tout dépend du type de lecteur.

Justine a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, il se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux – enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une œuvre marche ou non, si elle est lue ou pas. Tout dépend du type de lecteur.

Tradabordo a dit…

La littérature de masse est un fait qu'on ne peut nier. Le lecteur se rend compte qu'il peut y avoir quelque chose de bizarre, il se rend compte qu'on est en train de le manipuler et ne prend pas ça très au sérieux – enfin, ça dépend du lecteur. Malheureusement, à Cuba, nous n'avons pas les moyens de juger si une œuvre marche ou non, si elle est lue ou pas. Tout dépend du type de lecteur.

OK.