Roberto balbuceó un “gracias” y se marchó apresuradamente, emocionado, antes de que el espejismo desapareciera. No quería despertarse y descubrir que todo había sido un sueño. El señor Pinó se quedó un rato en la puerta mientras le veía alejarse corriendo, la cartera a la espalda, el pelo alborotado por el viento.
Traduction temporaire :
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout n'avait été qu'un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment sur le seuil de la porte tandis qu'il le regardait s'éloigner en courant, son cartable sur le dos, les cheveux agités par le vent.
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout n'avait été qu'un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment sur le seuil de la porte tandis qu'il le regardait s'éloigner en courant, son cartable sur le dos, les cheveux agités par le vent.
7 commentaires:
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout avait été un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment au pied de la porte tandis qu'il le voyait s'éloigner en courant, le cartable sur le dos, les cheveux troublés par le vent.
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout avait été un rêve [« n'avait été qu'un rêve » ? Comme vous préférez]. Monsieur Pinó était resté un moment au pied de la porte [« sur le seuil »] tandis qu'il le voyait [« regarder » ?] s'éloigner en courant, le [possessif] cartable sur le dos, les cheveux troublés [mal dit] par le vent.
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout n'avait été un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment sur le seuil de la porte tandis qu'il le regardait s'éloigner en courant, son cartable sur le dos, les cheveux emmêlés par le vent.
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout n'avait été un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment sur le seuil de la porte tandis qu'il le regardait s'éloigner en courant, son cartable sur le dos, les cheveux emmêlés [« secoués » / « agités » ? J'hésite entre les trois… Vérifier le sens dans l'unilingue] par le vent.
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout n'avait été qu'un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment sur le seuil de la porte tandis qu'il le regardait s'éloigner en courant, son cartable sur le dos, les cheveux agités par le vent.
Roberto avait balbutié un « merci » et était parti précipitamment, ému, avant que le mirage ne disparût. Il ne voulait pas s'éveiller et découvrir que tout n'avait été qu'un rêve. Monsieur Pinó était resté un moment sur le seuil de la porte tandis qu'il le regardait s'éloigner en courant, son cartable sur le dos, les cheveux agités par le vent.
OK.
Ludivine ?
Je suis d'accord.
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