En la puerta de una farmacia saludó a los clientes. Y cuando los guardias de seguridad quisieron echarlo saltó como un canguro con fiebre. –La locura es la mejor medicina –recomendaba–. O la muerte que lo iguala todo. Por último subió a un puente, se pegó a la baranda y lanzó besos volados a los carros. –¡Los adoro! –gritaba–. ¡Porque la vida es viaje y viajar es vivir!
Traduction temporaire :
À la porte d'une pharmacie, il salua les clients. Lorsque les agents de sécurité voulurent le jeter dehors, il se mit à sauter tel un kangourou enfiévré. « La folie est le meilleur remède », recommandait-il, « Ou alors la mort, qui égalise tout ». En dernier lieu, il grimpa sur un pont, se colla à la rambarde et envoya des baisers volés à l'attention des voitures. « Je vous aime ! » criait-il. « Parce que vivre, c'est voyager et que voyager, c'est vivre ! »
À la porte d'une pharmacie, il salua les clients. Lorsque les agents de sécurité voulurent le jeter dehors, il se mit à sauter tel un kangourou enfiévré. « La folie est le meilleur remède », recommandait-il, « Ou alors la mort, qui égalise tout ». En dernier lieu, il grimpa sur un pont, se colla à la rambarde et envoya des baisers volés à l'attention des voitures. « Je vous aime ! » criait-il. « Parce que vivre, c'est voyager et que voyager, c'est vivre ! »
4 commentaires:
À l'entrée d'une pharmacie, il salua les clients. Lorsque les agents de sécurité voulurent le jeter dehors, il se mit à sauter tel un kangourou avec de la fièvre. « La folie est le meilleur remède », recommandait-il, « Ou alors la mort, qui nous met tous au même niveau ». En dernier lieu, il grimpa sur un pont, se colla à la rambarde et envoya des baisers volés à l' attention des voitures. « Je vous aime ! », criait-il. « Parce que vivre c'est voyager et que voyager c'est vivre ! »
À l'entrée [pourquoi pas « porte » ?] d'une pharmacie, il salua les clients. Lorsque les agents de sécurité voulurent le jeter dehors, il se mit à sauter tel un kangourou avec de [bof] la fièvre. « La folie est le meilleur remède », recommandait-il, « Ou alors la mort, qui nous met tous au même niveau [pas exactement ce qu'il dit] ». En dernier lieu, il grimpa sur un pont, se colla à la rambarde et envoya des baisers volés à l' [sans l'espace]attention des voitures. « Je vous aime ! » criait-il. « Parce que vivre [virgule avant « c'est » et « c'était »] c'est voyager et que voyager [idem] c'est vivre ! »
À la porte d'une pharmacie, il salua les clients. Lorsque les agents de sécurité voulurent le jeter dehors, il se mit à sauter tel un kangourou enfiévré. « La folie est le meilleur remède », recommandait-il, « Ou alors la mort, qui égalise tout ». En dernier lieu, il grimpa sur un pont, se colla à la rambarde et envoya des baisers volés à l'attention des voitures. « Je vous aime ! » criait-il. « Parce que vivre, c'est voyager et que voyager, c'est vivre ! »
À la porte d'une pharmacie, il salua les clients. Lorsque les agents de sécurité voulurent le jeter dehors, il se mit à sauter tel un kangourou enfiévré. « La folie est le meilleur remède », recommandait-il, « Ou alors la mort, qui égalise tout ». En dernier lieu, il grimpa sur un pont, se colla à la rambarde et envoya des baisers volés à l'attention des voitures. « Je vous aime ! » criait-il. « Parce que vivre, c'est voyager et que voyager, c'est vivre ! »
OK.
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