mercredi 18 février 2015

Projet Sabrina 3 – phrases 71-72

Pronto el silencio ganó las habitaciones contiguas apagando el sonido de los pasos y los murmullos que se alejaban cada vez más, y yo me quedé ansiosamente abandonada al claror de los rayos lunares que penetraban por las amplias ventanas. A medida que la noche transcurría aumentó mi ansiedad, convencida de que pronto llegaría a su fin mi amordazamiento, sólo bastaba que la mirada de aquel pequeño quitara el embozo que hasta ahora había ahogado mi garganta.

Traduction temporaire :
Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes, étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus ; moi, je demeurai impatiente, abandonnée sous l'éclat des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. À mesure que la nuit avançait, mon empressement grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait fin rapidement ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Je m'interroge : il y a qqs répétitions (pronto, ansiosamente/ansiedad) dans la VO. On les garde donc lorsqu'on traduit ? J'ai choisi de les garder...

Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes en étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus ; et moi, je me retrouvai impatiente et abandonnée à la lumière des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. Au fur et à mesure que la nuit avançait, mon impatience grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait bientôt fin ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée.

Tradabordo a dit…

Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes en [avec une simple virgule ?] étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus ; et [nécessaire ?] moi, je me retrouvai [mal dit] impatiente et abandonnée à la lumière [« sous l'éclat » ?] des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. Au fur et [supprime] à mesure que la nuit avançait, mon impatience grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait bientôt [tu l'as au début] fin ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée.

Sabrina a dit…

Ok, tu m'as répondu ;).
Ah oui, c'est mieux "sous l'éclat", merci :).

Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes, étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus ; moi, je demeurai impatiente et abandonnée sous l'éclat des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. À mesure que la nuit avançait, mon impatience grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait fin rapidement ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée.

Tradabordo a dit…

Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes, étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus [au fait : pas redondant ? J'hésite…] ; moi, je demeurai impatiente et [juste une virgule ?] abandonnée sous l'éclat des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. À mesure que la nuit avançait, mon impatience [un moyen de ne pas répéter ?] grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait fin rapidement ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée [ou « étouffée » ?].

Sabrina a dit…

Non, je ne trouve pas ça redondant.
J'aime bien l'idée de la virgule :).
On a "étouffant" au début...

Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes, étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus ; moi, je demeurai impatiente, abandonnée sous l'éclat des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. À mesure que la nuit avançait, mon empressement grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait fin rapidement ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée.

Tradabordo a dit…

Bientôt, le silence gagna les pièces attenantes, étouffant le bruit des pas et des murmures qui s'éloignaient de plus en plus ; moi, je demeurai impatiente, abandonnée sous l'éclat des rayons lunaires qui pénétraient à travers les grandes fenêtres. À mesure que la nuit avançait, mon empressement grandit : j'étais convaincue que mon bâillonnement prendrait fin rapidement ; il suffisait que le regard de ce petit ôte le masque qui m'avait jusque-là étranglée.

OK.