vendredi 26 février 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 365-367

Las hermanitas González Vigil estaban en lo cierto —dijo Aníbal, rascándose el lóbulo de una oreja.
En su pesquisa sobre la colonia de yugoslavos de Lima, Aníbal había tropezado con unos Marovich, los únicos que figuraban en la guía telefónica (pero que afirmaron no tener parentesco con ninguna chica llamada Irina), y que, por ayudar a Aníbal o por un súbito interés genealógico, lo pusieron en contacto con una familia de apellido Kovack (investigadores de las migraciones balcánicas), que a su vez lo presentaría a un tal Igor Milosevic. Este sujeto, de profesión publicista, dijo haber conocido muy bien a los Marovich, y en particular a su hijita Irina, de quien no guardaba buenos recuerdos, pues esa mocosa infernal, decía, le propinaba puntapiés en la canilla cada vez que la familia de ella y la suya se visitaban.

Traduction temporaire :

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Lors de son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent pourtant n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac (qui faisait des recherches sur les migrations balkaniques), qui, à son tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Publicitaire de profession, cet individu affirma avoir très bien connu les Marovich, en particulier leur petite Irina, dont il ne gardait pas de bons souvenirs ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

6 commentaires:

Justine a dit…

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Dans son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent cependant n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac (investigateurs des migrations balkaniques), qui, à leur tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Cet individu, publicitaire de profession, affirma avoir très bien connu les Marovich, et en particulier leur petite Irina, qui ne lui avait laissé que des mauvais souvenirs ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

Tradabordo a dit…

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Dans [il y a mieux] son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent cependant [« pourtant » ?] n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac (investigateurs [?????] des migrations balkaniques), qui, à leur tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Cet individu [mets ça après], publicitaire de profession, affirma avoir très bien connu les Marovich, et [nécessaire ?] en particulier leur petite Irina, qui ne lui avait laissé que des mauvais souvenirs [pas ce que dit la V.O.] ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

Justine a dit…

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Lors de son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent pourtant n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac ( investigatrice des migrations balkaniques), qui, à son tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Publicitaire de profession, cet individu affirma avoir très bien connu les Marovich, en particulier leur petite Irina, dont il ne gardait pas de bons souvenirs ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

Tradabordo a dit…

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Lors de son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent pourtant n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac ([espace en trop] investigatrice [c'est ce terme qui ne va pas…] des migrations balkaniques), qui, à son tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Publicitaire de profession, cet individu affirma avoir très bien connu les Marovich, en particulier leur petite Irina, dont il ne gardait pas de bons souvenirs ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

Justine a dit…

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Lors de son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent pourtant n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac (qui faisait des recherches sur les migrations balkaniques), qui, à son tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Publicitaire de profession, cet individu affirma avoir très bien connu les Marovich, en particulier leur petite Irina, dont il ne gardait pas de bons souvenirs ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

Tradabordo a dit…

— Les sœurs González Vigil étaient dans le vrai, reprit Anibal en se grattant le lobe de l'oreille.
Lors de son enquête sur la communauté yougoslave de Lima, il était tombé sur des Marovich, les seuls qui figuraient dans l'annuaire (ils affirmèrent pourtant n'avoir aucun lien de parenté avec une quelconque jeune fille prénommée Irina) et qui, pour l'aider, ou s'étant découvert un intérêt soudain pour la généalogie, le mirent en relation avec une famille Kovac (qui faisait des recherches sur les migrations balkaniques), qui, à son tour, lui présenterait un certain Igor Milosevic. Publicitaire de profession, cet individu affirma avoir très bien connu les Marovich, en particulier leur petite Irina, dont il ne gardait pas de bons souvenirs ; en effet, cette morveuse infernale – comme il l'appela – lui balançait des coups de pieds dans le tibia, chaque fois qu'avec sa famille, elle rendait visite à la sienne.

OK.