samedi 27 février 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 378-383

Es difícil, ahora, aquilatar en su real dimensión todo lo vivido durante aquel verano. A la luz de los años, remontando las oleadas de prejuicios sociales, morales y culturales sepultados en el camino, la historia de la Zurda muestra a duras penas el encanto de un mueble viejo. Aníbal se ríe hoy de la increíble superstición que se tejiera en torno a ella, sobre la cual no hemos hallado antecedentes en leyendas populares, locales o extranjeras, y me recuerda que yo temblaba como un papel ante la posibilidad de que Irina Marovich me besara. A decir verdad, me gusta oírlo reír. Y me gusta cómo dice las cosas que dice, pues no se está mofando de mí ni de sí mismo. Está solo siendo afectuoso. Está, sobre todo, afinando, probando y arrancándole melodías, tan simples y hermosas para nosotros, a ese precioso Stradivarius que es la memoria de dos amigos que intercambian recuerdos.

Traduction temporaire :
Difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère a finalement autant de charme qu'un vieux meuble. Anibal s'amuse aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me souviens que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire. Et j'aime sa façon de s'exprimer ; en effet, il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner son jeu, de tester et d'arracher à ce précieux Stradivarius – qui n'est autre que la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs – des mélodies si simples et si belles pour nous.

6 commentaires:

Justine a dit…

C'est difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère montre à grand-peine le charme d'un vieux meuble. Anibal rit aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me rappelle que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire. Et j'aime sa façon de dire ce qu'il dit : en effet il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner, de tester et d'arracher des mélodies si simples et si belles pour nous à ce précieux Stradivarius, qui est la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs.

Tradabordo a dit…

C'est [supprime ; dès que c'est possible, fais-le… Une plaie, ces « c'est » / « c'était »… !] difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère montre à grand-peine [« montre… » ; là, ça n'est pas du tout naturel… D'ailleurs, je ne suis même pas certaine qu'on comprenne de quoi il s'agit…] le charme d'un vieux meuble. Anibal rit aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me rappelle [texte] que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire [OK pour celui-ci ; tu en as un plus haut… essaie de le changer]. Et j'aime sa façon de dire ce qu'il dit [tu viens de mettre « dire » // maintenant, il faut que t'habitudes : quand tu as terminé une section, tu la reprends en entier et tu fais le ménage… Sinon, quand tu auras de nouveau un texte long, soit tu vas souffrir quand tu feras tes relectures, soit tu laisseras des tas de scories… Prends vraiment cette habitude… surtout avec « dire » ; tu le sais, ça ne veut pas dire qu'il faut tous les supprimer, loin de là… mais que quand tu peux faire autrement, tu le fais] : [j'hésite sur les deux points] en effet il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner, de tester et d'arracher des mélodies si simples et si belles pour nous à ce précieux Stradivarius [reprends ça…], qui est la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs.

Justine a dit…

Difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère a autant de charme qu'un vieux meuble. [j'ai du mal à intégrer le « a duras penas »] Anibal s'amuse aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me souviens que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire. Et j'aime sa façon de s'exprimer ; en effet, il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner, de tester et d'arracher à ce précieux Stradivarius — qui n'est autre que la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs – des mélodies si simples et si belles pour nous.

Tradabordo a dit…

Difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère a finalement autant de charme qu'un vieux meuble. Anibal s'amuse aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me souviens que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire. Et j'aime sa façon de s'exprimer ; en effet, il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner [sûre pour la musique ? Vérifie, quand même], de tester et d'arracher à ce précieux Stradivarius – qui n'est autre que la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs – des mélodies si simples et si belles pour nous.

Justine a dit…

Oui, mais avec un complément, par exemple : un pianiste affine son jeu.

Difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère a finalement autant de charme qu'un vieux meuble. Anibal s'amuse aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me souviens que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire. Et j'aime sa façon de s'exprimer ; en effet, il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner son jeu, de tester et d'arracher à ce précieux Stradivarius – qui n'est autre que la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs – des mélodies si simples et si belles pour nous.

Tradabordo a dit…

Difficile, désormais, d'apprécier à sa juste valeur tout ce qu'on a vécu cet été-là. À la lumière des années, en dépassant les vagues de préjugés sociaux, moraux et culturels ensevelis sur le chemin, l'histoire de la Gauchère a finalement autant de charme qu'un vieux meuble. Anibal s'amuse aujourd'hui de l'incroyable superstition qui s'était tissée autour d'elle, sur laquelle nous n'avions pas trouvé d'antécédents dans les légendes populaires, locales ou étrangères ; quant à moi, je me souviens que je tremblais comme une feuille à l'idée qu'Irina Marovich puisse m'embrasser. À vrai dire, ça me plaît de l'entendre rire. Et j'aime sa façon de s'exprimer ; en effet, il ne se moque ni de moi ni de lui-même. Il est juste affectueux. Il est surtout en train d'affiner son jeu, de tester et d'arracher à ce précieux Stradivarius – qui n'est autre que la mémoire de deux amis échangeant des souvenirs – des mélodies si simples et si belles pour nous.

OK.