dimanche 21 février 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 231-238

El conserje y los demás empleados eran todos androides controlados por alguna IA mediante control remoto. Nada podía ser perfecto.
Todos los días conducíamos hasta el Hospital Jackson Memorial, el único que seguía operando en toda la ciudad. La mayor parte del tiempo la pasábamos viendo las noticias o conversando con algún colega en Los ángeles o Madrid a través de Internet. Sólo una o dos veces a la semana teníamos que ingresar al pabellón, y cuando la cosas se complicaban mucho siempre aparecía algún representante de nuestros guardianes ofreciendo su solución a nuestros moribundos. Aquellos que hasta el momento se habían resistido, dudaban. La mayoría aceptaba el trato. Vendían sus almas a bajo precio y nosotros éramos cómplices al permitirlo, decía Lucile.

Traduction temporaire :
Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous roulions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin d'aller au pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

9 commentaires:

Justine a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes contrôlés par une IA à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous conduisions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital qui tournait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart du temps à regarder les informations ou à discuter avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid via Internet. Nous n'avions besoin d'intégrer le pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, doutaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Tradabordo a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes contrôlés par une IA à distance [texte ; je ne suis pas certaine que tu n'introduises pas un CS / encore une fois, en agglomérant plutôt que de suivre la V.O., tu crées des pbs de sens…]. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous conduisions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital qui tournait [pas ce que dit la V.O.] encore dans toute la ville. Nous passions la plupart du [« de notre » ?] temps à regarder les informations ou à discuter avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid via Internet [mets-le avant]. Nous n'avions besoin d'intégrer le pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, doutaient [bof]. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Justine a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes contrôlés par une IA au moyen d'un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous conduisions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter via Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin d'intégrer le pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Justine a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous conduisions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin d'intégrer le pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Tradabordo a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous conduisions [bizarre ; on attend un complément avec ce verbe] jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin d'intégrer [j'hésite ici, en fait] le pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Justine a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous roulions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin de rentrer au pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Tradabordo a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous roulions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin de rentrer [« d'aller » ?] au pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Justine a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous roulions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin d'aller au pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

Tradabordo a dit…

Le concierge et les autres employés étaient tous des androïdes téléguidés par une IA via un contrôle à distance. Rien ne pouvait être parfait. Tous les jours, nous roulions jusqu'au Jackson Memorial, le seul hôpital où on opérait encore dans toute la ville. Nous passions la plupart de notre temps à regarder les informations ou à discuter par Internet avec un collègue à Los Angeles ou à Madrid. Nous n'avions besoin d'aller au pavillon qu'une à deux fois par semaine, et quand les choses se compliquaient trop, un représentant de nos gardiens apparaissait toujours, offrant sa solution à nos moribonds. Ceux qui jusqu'à ce moment-là avaient résisté, hésitaient. La majorité acceptait le marché. Ils vendaient leurs âmes à bas prix et nous, en l'autorisant, nous étions complices, affirmait Lucile.

OK.