samedi 27 février 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 86-91

Ella permanecía silente y, antes de que me dijera nada, le abrí los labios con las manos, derramé mi copa de vino en su boca y empecé a beber de ese recipiente profundo y suave con una sed que buscaba agotar su lengua, sus palabras. Olvidé la lanza que un momento antes había visto elevarse desde su pecho has ta su garganta y vertí la otra copa de vino en su boca para seguir bebiendo hasta dejarla seca. Ella empezó a ahogarse; yo no le di tregua: la empujé sobre la mesa, le arranqué la blusa, los botones saltaron, cayendo sobre el suelo como moneditas de plata. Ahora los veo caer como si fueran un borbotón de lágrimas. Sus senos se me expusieron desnudos; desprovistos del sujetador, cayeron a un lado y al otro, sin mostrarse más como dos volcanes a punto de erupcionar. La cogí por los cabellos y la arrojé al suelo.

Traduction temporaire :
Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un mot, mes mains ouvrirent ses lèvres ; je vidai dans sa bouche mon verre de vin et bus à ce réceptacle profond et doux, avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance qu'un instant plus tôt, j'avais vue s'élever de sa poitrine vers sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer de boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui laissai pas de répit : je la poussai sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre telles de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent dans leur nudité, sans soutien-gorge ; ils basculèrent chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Après avoir traduit ce passage, je pense même que nous pourrions rajouter un 2ème point d'exclamation dans l'extrait précédent !! :p

Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un mot, de mes mains j'ouvris sa bouche, j'y vidai mon verre de vin et je bus à ce profond et doux récipient, avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance que j'avais vue, un instant plus tôt, s'élever de sa poitrine à sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer à boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui donnai pas de répit : je la soulevai sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre tels de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent nus, sans soutien-gorge ; ils s'étalèrent chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

Tradabordo a dit…

Ne nous laissons pas aller sur cette pente glissante, Winglurb !

Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un [« le moindre » ? Pas obligée…] mot, de [mal dit] mes mains j'ouvris sa bouche [V.O.], j'[nécessaire ?]y vidai mon verre de vin et je bus à ce profond et doux récipient [bof], avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance que j'avais vue, un instant plus tôt [mets ça avant…], s'élever de sa poitrine à [je sais que tu cherches à éviter la répétition avec le « jusqu'à », qui est après… mais là, c'est un peu court ; « vers » ?] sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer à [« de »] boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui donnai [« laissai »] pas de répit : je la soulevai [txte] sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre tels [tel s'accorde avec ce qui suit] de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent nus [« dans leur nudité »], sans soutien-gorge ; ils s'étalèrent [bof] chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

Sabrina a dit…

;)
Je savais que ce n'était pas "donner" avec "répit" mais "laisser" ne venait pas !Bien mieux aussi "dans leur nudité". Merci :).
Je reprends tout le reste.

Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un mot, avec mes mains j'ouvris ses lèvres, vidai dans sa bouche mon verre de vin et bus à ce réceptacle profond et doux, avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance qu'un instant plus tôt, j'avais vue s'élever de sa poitrine vers sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer à de boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui laissai pas de répit : je la poussai sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre telles de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent dans leur nudité, sans soutien-gorge ; ils basculèrent chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

Tradabordo a dit…

Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un mot, avec mes mains j'ouvris [pas plus naturel avec : « les mains ouvrirent » ? Essaie et vois ce qui est mieux] ses lèvres, vidai dans sa bouche mon verre de vin et bus à ce réceptacle profond et doux, avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance qu'un instant plus tôt, j'avais vue s'élever de sa poitrine vers sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer à de [coquille] boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui laissai pas de répit : je la poussai sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre telles de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent dans leur nudité, sans soutien-gorge ; ils basculèrent chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

Sabrina a dit…

Oui, c'est très bien, merci :)

Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un mot, mes mains ouvrirent ses lèvres ; je vidai dans sa bouche mon verre de vin et bus à ce réceptacle profond et doux, avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance qu'un instant plus tôt, j'avais vue s'élever de sa poitrine vers sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer de boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui laissai pas de répit : je la poussai sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre telles de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent dans leur nudité, sans soutien-gorge ; ils basculèrent chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

Tradabordo a dit…

Elle restait silencieuse et, avant qu'elle ne dise un mot, mes mains ouvrirent ses lèvres ; je vidai dans sa bouche mon verre de vin et bus à ce réceptacle profond et doux, avec une soif qui cherchait à étancher sa langue, ses paroles. J'en oubliai la lance qu'un instant plus tôt, j'avais vue s'élever de sa poitrine vers sa gorge et je versai l'autre verre de vin dans sa bouche pour continuer de boire jusqu'à l'assécher. Elle commença à s'étouffer ; je ne lui laissai pas de répit : je la poussai sur la table, lui arrachai son corsage, les boutons sautèrent, roulant par terre telles de petites pièces de monnaie. Maintenant, je les vois tomber comme une explosion de larmes. Ses seins m'apparurent dans leur nudité, sans soutien-gorge ; ils basculèrent chacun d'un côté, se présentant comme deux volcans sur le point d'entrer en éruption. Je l'attrapai par les cheveux et la jetai au sol.

OK.