dimanche 21 février 2016

Projet Marion – phrases 77-81

Pero, pensaba Verónica, de todas maneras seguía prefiriendo la casa de Mariela a la suya propia. Varias veces los Domínguez le habían insistido en que trajera a su madre para tomar un té o incluso sugerían visitarla. Decían que no podía seguir así, que tenía que superar la muerte de Martín, que ellos eran capaces de llevarle la paz de Dios y de ayudarla a aceptar su voluntad. Verónica seguía rechazando los pedidos, amablemente; había escuchado demasiadas veces a su madre insultando a Dios. Sabía que un encuentro, cualquier tipo de encuentro, era imposible.

Traduction temporaire :
Mais, pensait Verónica, elle continuait de préférer la maison de Mariela à la sienne malgré tout. Plusieurs fois, les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère afin de prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir, eux. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer ainsi, qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient en mesure de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser, aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Mais, pensait Verónica, de toutes façons, elle continuait à préférer la maison de Mariela à la sienne propre. Plusieurs fois les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère pour prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer ainsi, qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient capables de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser les demandes, aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

Tradabordo a dit…

Mais, pensait Verónica, de toutes façons, [pas très naturel… C'est plutôt dans le sens « malgré tout ça, les tableaux, la grand-mère… »] elle continuait à [« DE »] préférer la maison de Mariela à la sienne propre [supprimez]. Plusieurs fois [quand vous ne commencez pas par le sujet : VIRGULE] les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère pour [un moyen d'éviter les deux « pour » ? Pas génial] prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir [cheville : « , eux » ? J'hésite]. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer ainsi [pas très naturel], qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient capables [« en mesure »] de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser les [mal dit] demandes, aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

Unknown a dit…

Mais, pensait Verónica, malgré tout, elle continuait de préférer la maison de Mariela à la sienne. Plusieurs fois, les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère afin de prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir, eux. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer comme cela [?], qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient en mesure de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser leurs demandes, aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

Tradabordo a dit…

Mais, pensait Verónica, malgré tout [mettez-le après ; ça évitera l'entre-virgules], elle continuait de préférer la maison de Mariela à la sienne. Plusieurs fois, les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère afin de prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir, eux. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer comme cela [? [« ainsi » ?], qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient en mesure de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser leurs demandes [nécessaire ?], aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

Unknown a dit…

Mais, pensait Verónica, elle continuait de préférer la maison de Mariela à la sienne malgré tout. Plusieurs fois, les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère afin de prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir, eux. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer ainsi, qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient en mesure de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser, aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

Tradabordo a dit…

Mais, pensait Verónica, elle continuait de préférer la maison de Mariela à la sienne malgré tout. Plusieurs fois, les Domínguez avaient insisté pour qu'elle amène sa mère afin de prendre un thé ou même, ils suggéraient d'aller la voir, eux. Ils disaient qu'elle ne pouvait continuer ainsi, qu'elle devait surmonter la mort de Martín, qu'ils étaient en mesure de lui apporter la paix de Dieu et de l'aider à accepter sa volonté. Verónica persistait à refuser, aimablement ; elle avait entendu trop de fois sa mère insulter Dieu. Elle savait qu'une rencontre, n'importe quel type de rencontre, était impossible.

OK.

Attention : la section 68-76 n'est pas terminée.