lundi 29 février 2016

Projet Justine 7 – phrases 20-27

Apretó los puños y brincó de la cama, buscó una bata gruesa, se puso los zapatos y agarró el bastón que alguna vez fue de su esposo, como instrumento de golpe en caso de necesitarlo. Estudió el escenario, don Luis estaba en la casa continua, solo había que gritar fuerte, quebrar cosas, correr hacia la calle. ¿Y si traía un arma? ¡Que la disparara!, total hacía rato que no tenía nada que perder. Ya no más. Bajó las escaleras y se encaminó valiente al dormitorio de su hijo. Al entrar percibió un aroma mojado, a viejo, como de algo guardado durante mucho tiempo que de la nada era sacado a la luz. Con pasos sigilosos pero seguros se asomó a la habitación, cruzando el bastón sobre su cuerpo, tratando inútilmente de parecer intimidante.

Traduction temporaire :
Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis étant dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme si quelque chose était resté longtemps enfermé avant d'être brusquement exposé à la lumière. À pas de loups, mais assurés, elle s'avança, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante.

8 commentaires:

Justine a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, elle chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper [cheville, « l'ennemi » ?] en cas de besoin. Elle analysa la situation : don Luis était dans la maison voisine, elle n'avait [« n'aurait » ?] qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toutes façons, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme quelque chose qui serait resté rangé longtemps avant d'être d'un seul coup exposé à la lumière. À pas de loups, mais assurés, elle se montra dans la pièce, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante. [on a déjà « intimider » dans la phrase d'avant]

Tradabordo a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, elle [nécessaire ?]

Pour le reste, tranche dans le cas où tu as des doutes, etc. et laisse-moi uniquement ta trad.

chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper [cheville, « l'ennemi » ?] en cas de besoin. Elle analysa la situation : don Luis était dans la maison voisine, elle n'avait [« n'aurait » ?] qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toutes façons, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme quelque chose qui serait resté rangé longtemps avant d'être d'un seul coup exposé à la lumière. À pas de loups, mais assurés, elle se montra dans la pièce, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante. [on a déjà « intimider » dans la phrase d'avant]

Justine a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis était dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme quelque chose qui serait resté rangé longtemps avant d'être d'un seul coup exposé à la lumière. À pas de loups, mais assurés, elle se montra dans la pièce, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante. [on a déjà « intimider » dans la phrase d'avant]

Tradabordo a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis était [« étant » ?] dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme quelque chose qui serait resté rangé longtemps avant d'être d'un seul coup exposé à la lumière [pas très naturel… Pas simple, en effet]. À pas de loups, mais assurés, elle se montra dans la pièce [bof], la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante.

Mais pourquoi, pourquoi, pourquoi……………… faut-elle qu'elle aille voir ?????? Tire-toi de là !!!!! :-)))))

Justine a dit…

Trop tard ! Elle va bientôt connaître une mort atroce…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis étant dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme si quelque chose était resté longtemps enfermé avant d'être brusquement ressorti. À pas de loups, mais assurés, elle s'avança, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante.

Tradabordo a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis étant dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme si quelque chose était resté longtemps enfermé avant d'être brusquement ressorti [« exposé à la lumière » ?]. À pas de loups, mais assurés, elle s'avança, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante.

Justine a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis étant dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme si quelque chose était resté longtemps enfermé avant d'être brusquement exposé à la lumière. À pas de loups, mais assurés, elle s'avança, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante.

Tradabordo a dit…

Elle serra les poings et bondit hors de son lit, chercha une épaisse robe de chambre, enfila ses chaussures et attrapa la canne de son défunt mari pour pouvoir frapper l'ennemi si nécessaire. Elle analysa la situation : don Luis étant dans la maison voisine, elle n'aurait qu'à crier fort, casser des objets, s'enfuir en direction de la rue. Et s'il était armé ? Qu'il lui tire dessus ! De toute façon, cela faisait longtemps qu'elle n'avait rien à perdre. Plus rien. Elle descendit les escaliers et se dirigea courageusement vers la chambre de son fils. En y entrant, elle sentit une odeur de mouillé, de vieux, comme si quelque chose était resté longtemps enfermé avant d'être brusquement exposé à la lumière. À pas de loups, mais assurés, elle s'avança, la canne en travers de son corps, essayant en vain d'avoir l'air menaçante.

OK.