lundi 22 février 2016

Projet Sarah / Sarah – phrases 23-26

*

Cuando lo pienso, comprendo el miedo que habrá sentido, solita, la primera, al ver que  su cuerpo se curvaba, que la caja torácica perdía su rigidez, que los senos comenzaban a doler y a moverse imperceptiblemente. De su ventana, siempre esperábamos las más grandes sorpresas. Irene nos hablaba de raptos, de fugas, de que alguna mañana se iría con su bultito de ropa, como Oliver Twist, porque en casa no la querían, o porque alguien la aguardaba afuera. Quizá por eso su ventana siempre me pareció misteriosa.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

4 commentaires:

Unknown a dit…

Quand j'y repense, je comprends la peur qu'elle a dû ressentir, seule, la première, en voyant qu'elle avait commencé à avoir des formes, que sa cage thoracique perdait sa rigidité, que ses seins devenaient douloureux et grossissaient imperceptiblement. Par sa fenêtre, nous nous attendions toujours aux plus étranges choses. Irene nous parlait d'enlèvements, de fugues, qu'un matin elle partirait avec son petit sac de vêtements, comme Oliver Twist, parce que chez elle ils ne l'aiment pas, ou parce que quelqu'un l'attendait au dehors. C'est peut-être pour cela que sa fenêtre m'a toujours parue mystérieuse.

Tradabordo a dit…

N'oubliez pas le : * [je dois le mettre après dans la traduction]

Quand j'y repense, je comprends la peur qu'elle a dû ressentir, seule, la première [je ne comprends pas bien… « la première quoi » ? Je fais un peu de mauvaise foi, mais j'essaie de me mettre à la place de votre lecteur francophone…], en voyant qu'elle avait commencé à avoir des formes, que sa cage thoracique perdait sa rigidité, que ses seins devenaient douloureux et grossissaient imperceptiblement. Par sa fenêtre, nous nous attendions toujours aux [pas certaine que vous ne changiez pas le sens : juste « esperar » en français] plus étranges choses [texte ?]. Irene nous parlait d'enlèvements, de fugues, qu'un matin [virgule] elle partirait avec son petit sac de vêtements, comme Oliver Twist, parce que chez elle [virgule] ils [ou « on » ? J'hésite…] ne l'aiment [temps] pas, ou parce que quelqu'un l'attendait au [mal dit] dehors. C'est peut-être pour cela que sa fenêtre m'a toujours parue mystérieuse.

Unknown a dit…

*

Quand j'y repense, je comprends la peur qu'elle a dû ressentir, seule, la première à voir qu'elle commençait à avoir des formes, que sa cage thoracique perdait sa rigidité, que ses seins devenaient douloureux et grossissaient imperceptiblement. Par sa fenêtre, nous attendions toujours les plus grandes surprises. Irene nous parlait d'enlèvements, de fugues, qu'un matin, elle partirait avec son petit sac de vêtements, comme Oliver Twist, parce que chez elle, on ne l'aimait pas, ou parce que quelqu'un l'attendait dehors. C'est peut-être pour cela que sa fenêtre m'a toujours parue mystérieuse.

Tradabordo a dit…

*

Quand j'y re[pourquoi cet ajout, au fait ?]pense, je comprends la peur qu'elle a dû ressentir, seule, la première à voir qu'elle commençait à avoir des formes, que sa cage thoracique perdait sa rigidité, que ses seins devenaient douloureux et grossissaient imperceptiblement. Par sa fenêtre, nous attendions toujours les plus grandes surprises. Irene nous parlait d'enlèvements, de fugues, qu'un matin, elle partirait avec son petit sac de vêtements, comme Oliver Twist, parce que chez elle, on ne l'aimait pas, ou parce que quelqu'un l'attendait dehors. C'est peut-être pour cela que sa fenêtre m'a toujours parue mystérieuse.

OK.

Sarah ?