mercredi 24 février 2016

Projet Justine / Marie-G. 2 – phrases 70-74

Yo accedía y ella se sentaba frente a mí y yo iba sacando las espinas con mucho cuidado para que no le doliera pero de todas maneras le dolía. Después de mucho tiempo, cuando por fin lograba sacarle la última espina, ella se volvía un río de sangre y se alejaba por entre los cactus llenos de dientes. Alfreda, nos dijo madre al día siguiente, tiene la voz igualitica, no le ha cambiado nada. Le conté lo que había dicho el padre en la misa del domingo y ella me dijo que claro que el padre tenía razón y que la familia era un bastión y que han pasado tantos años aunque yo los recuerdo mucho sino que… usted sabe, el trabajo. Ahora mismo voy en un taxi, acabé de llegar a Bogotá y estoy saliendo del aeropuerto para mi casa.

Traduction temporaire :
J'accédais à sa requête. Elle s'essayait en face de moi, et je lui enlevais les épines, très délicatement, pour éviter de lui faire mal, mais elle souffrait quand même . Au bout d'un long moment, quand j'arrivais enfin à déloger la dernière, elle devenait une rivière de sang et s'éloignait au milieu des cactus hérissés de dents. Alfreda, nous informa maman le lendemain, a toujours la même voix, elle n'a pas changé. Je lui ai raconté ce qu'avait dit le père à la messe du dimanche, et elle m'a répondu que bien sûr, il avait raison, et que la famille était bel et bien une citadelle, et que malgré toutes ces années, je pense beaucoup à vous, mais… vous savez ce que c'est, le travail. Je suis actuellement dans un taxi, je viens d'arriver à Bogota, et je quitte l'aéroport pour rentrer chez moi.

5 commentaires:

Justine a dit…

J'accédais à sa requête : elle s'essayait face à moi, et je lui enlevais les épines, très délicatement, pour éviter de lui faire mal, mais de toutes façons, elle souffrait. Au bout d'un long moment, quand j'arrivais enfin à déloger [On a déjà « retirer » et « enlever »…]la dernière épine, elle devenait une rivière de sang et s'éloignait au milieu des cactus couverts de dents. Alfreda, nous informa maman le lendemain, a toujours la même voix, elle n'a pas changé. Je lui ai raconté ce qu'avait dit le père à la messe du dimanche, et elle m'a répondu que bien sûr qu'il avait raison, et que la famille était bel et bien une citadelle ; et que, malgré toutes ces années, je pense beaucoup à vous, mais… vous savez ce que c'est, le travail. Je suis actuellement dans un taxi, je viens d'arriver à Bogota, et je quitte l'aéroport pour rentrer chez moi.

Tradabordo a dit…

J'accédais à sa requête : [point ?] elle s'essayait face à [« en face de »] moi, et je lui enlevais les épines, très délicatement, pour éviter de lui faire mal, mais de toutes façons [avec un « quand même » ?], elle souffrait. Au bout d'un long moment, quand j'arrivais enfin à déloger la dernière épine [nécessaire ?], elle devenait une rivière de sang et s'éloignait au milieu des cactus couverts [« hérissés » ?] de dents. Alfreda, nous informa maman le lendemain, a toujours la même voix, elle n'a pas changé. Je lui ai raconté ce qu'avait dit le père à la messe du dimanche, et elle m'a répondu que bien sûr [virgule] qu'[du coup, tu devrais pouvoir supprimer]il avait raison, et que la famille était bel et bien une citadelle ; [virgule] et que, [supprime la virgule] malgré toutes ces années, je pense beaucoup à vous, mais… vous savez ce que c'est, le travail. Je suis actuellement dans un taxi, je viens d'arriver à Bogota, et je quitte l'aéroport pour rentrer chez moi.

Justine a dit…

J'accédais à sa requête. Elle s'essayait en face de moi, et je lui enlevais les épines, très délicatement, pour éviter de lui faire mal, mais elle souffrait quand même . Au bout d'un long moment, quand j'arrivais enfin à déloger la dernière, elle devenait une rivière de sang et s'éloignait au milieu des cactus hérissés de dents. Alfreda, nous informa maman le lendemain, a toujours la même voix, elle n'a pas changé. Je lui ai raconté ce qu'avait dit le père à la messe du dimanche, et elle m'a répondu que bien sûr, il avait raison, et que la famille était bel et bien une citadelle, et que malgré toutes ces années, je pense beaucoup à vous, mais… vous savez ce que c'est, le travail. Je suis actuellement dans un taxi, je viens d'arriver à Bogota, et je quitte l'aéroport pour rentrer chez moi.

Tradabordo a dit…

J'accédais à sa requête. Elle s'essayait en face de moi, et je lui enlevais les épines, très délicatement, pour éviter de lui faire mal, mais elle souffrait quand même. Au bout d'un long moment, quand j'arrivais enfin à déloger la dernière, elle devenait une rivière de sang et s'éloignait au milieu des cactus hérissés de dents. Alfreda, nous informa maman le lendemain, a toujours la même voix, elle n'a pas changé. Je lui ai raconté ce qu'avait dit le père à la messe du dimanche, et elle m'a répondu que bien sûr, il avait raison, et que la famille était bel et bien une citadelle, et que malgré toutes ces années, je pense beaucoup à vous, mais… vous savez ce que c'est, le travail. Je suis actuellement dans un taxi, je viens d'arriver à Bogota, et je quitte l'aéroport pour rentrer chez moi.

OK.

Justine a dit…

Pourrais-tu me mettre la phrase suivante, s'il te plaît, Caroline ?