lundi 29 février 2016

Projet Justine / Marie-G 2 – phrases 95-100

Sudando fui a la cocina a tomar agua de panela y ahí supe por Elisa que la tía Alfreda nos visitaría el sábado y que mamá haría buñuelos y conserva porque a ella le encantaban. En eso sí no se parece a su papá que no volteaba ni a mirar la conserva cuando hacíamos con su abuela que dizque porque ese color no le gustaba. Él se daba tres caídas era por el arroz de dulce. De eso sí se comía los plataos cada vez que yo hacía y decía que el arroz de dulce mío era el mejor del mundo, que inclusive era mejor que el que hacía la mamá de él y eso era mucho decir.
Sábado. La penca ‘e morena iría a visitarnos el sábado…

Traduction temporaire :

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne daignait même pas jeter un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il finissait toutes les assiettes et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

9 commentaires:

Justine a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée [ou une note ?] et,là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, et que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle, elle adorait ça. Sur ce point en effet, elle ne ressemble pas à votre papa, qui ne jetait même pas un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour du riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait tout le plat et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Tradabordo a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée [ou une note ? Je te laisse évaluer] et,[espace]là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, et [nécessaire ?] que maman ferait des beignets et des fruits au sirop [tu l'as trouvé ?], parce qu'elle [nécessaire ?], elle adorait ça. Sur ce point en effet [pas exactement ça], elle ne ressemble pas à votre papa, qui ne jetait même pas un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour du [« le »] riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait tout le plat [tu as vérifié ?] et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Justine a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop [tu l'as trouvé ? /Oui, avec Google images], parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne jetait même pas un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait toutes les assiettes [mais ça me paraît bizarre en français] et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Tradabordo a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne jetait [avec l'ajout d'un « daigner » ? Essaie et vois si c'est bien…] même pas un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait toutes les assiettes [mais ça me paraît bizarre en français /// mais c'est bien le sens ?] et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Justine a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne daignait même pas jeter un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait toutes les assiettes [mais ça me paraît bizarre en français /// mais c'est bien le sens ? /Oui] et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Justine a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne daignait même pas jeter un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait toutes les assiettes [mais ça me paraît bizarre en français /// mais c'est bien le sens ? /Oui] et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Tradabordo a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne daignait même pas jeter un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il mangeait [« finissait » ?] toutes les assiettes et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Justine a dit…

Je n'osais pas de peur de m'éloigner… Merci !

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne daignait même pas jeter un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il finissait toutes les assiettes et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

Tradabordo a dit…

Transpirante, j'allai à la cuisine boire de l'eau sucrée et, là, j'appris par Elisa que tante Alfreda nous rendrait visite samedi, que maman ferait des beignets et des fruits au sirop, parce qu'elle adorait ça. Sur ce point, elle ne ressemble pas du tout à votre papa, qui ne daignait même pas jeter un coup d’œil aux bocaux quand nous en préparions avec votre mamie ; apparemment, il n'en aimait pas la couleur. Non, lui, il se damnait pour le riz au lait. Chaque fois que j'en cuisinais, il finissait toutes les assiettes et disait que mon riz au lait était le meilleur du monde, qu'il était même supérieur à celui de sa propre mère. Un sacré compliment !
Samedi. La plantureuse brune viendrait nous voir samedi…

OK.