dimanche 28 février 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 92-99

Al ver que intentaba levantarse, le dije que era una ramera y me monté sobre su cuerpo. Ella ya no se resistió y respondió bien a mi ritmo. Las luces colgantes del techo alumbraban su rostro; solo por un ins tante alcancé a olvidarme de mí y en sus ojos atisbé un lago, desbordante. ¿Podía haber actuado de otra manera? ¿Quién era yo; de dónde me salía ese yo en ese suelo? Mis rodillas empezaron a molestarme por el contacto con las baldosas duras, frías. ¿De dónde me brotaba ese arrebato? Levanté mi mano, como queriendo tapar el brillo de la lámpara que afectaba a sus ojos; pero en lugar de cubrir la luz, con una fuerza incontenible, mi mano descendió para abofetear su rostro hasta que terminé derramándome en ella, con un grito suyo, y otro grito mío.

Traduction temporaire :
En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; durant un instant seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait un tel déchaînement ? Je levai une main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui blessait ses yeux ; au lieu de cacher la lumière, je la redescendis avec une force irrépressible pour lui gifler le visage, jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

8 commentaires:

Sabrina a dit…

En voyant qu'elle tentait de se lever, je lui dis que c'était une pute et grimpai sur son corps. Elle cessa de résister et suivit bien mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; pendant un moment seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me faire mal. D'où surgissait cet emportement ? Je levai ma main, comme pour vouloir cacher l'éclat de la lampe qui gênait ses yeux ; mais au lieu de couvrir la lumière, avec une force irrépressible, ma main redescendit pour lui gifler le visage jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Tradabordo a dit…

En voyant qu'elle tentait de se lever, je lui dis [un verbe plus intéressant ici] que c'était [évite « c'est » et « c'était » ; je t'ai dit : il une béquille assez pauvre… à garder pour quand on en a vraiment besoin] une pute et grimpai sur son corps [« elle »]. Elle cessa de résister et suivit bien [naturel ? On le dirait ?] mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; pendant un moment [littéral ?] seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi [cheville : « , là, » ? Comme tu veux…] par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me faire mal [surtraduit ?]. D'où surgissait cet emportement [naturel ?] ? Je levai ma [sans le possessif ?] main, comme pour vouloir cacher [charabia ? ;-)] l'éclat de la lampe qui gênait [pas plus fort en V.O. ?] ses yeux ; mais [nécessaire ?] au lieu de couvrir la lumière, avec une force irrépressible, ma main [syntaxe du début ?] redescendit pour lui gifler le visage jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Sabrina a dit…

J'avoue, tu me l'as déjà dit, oup's ;)
Ok pour tout et je reprends

En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; à un moment seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait une telle passion ? Je levai la main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui affectait ses yeux ; au lieu de couvrir la lumière, avec une force irrépressible, je la redescendis pour lui gifler le visage jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Tradabordo a dit…

En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; à [CS ?] un moment seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait une telle passion [FS, je crois… plutôt « déchaînement »] ? Je levai la [« une »] main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui affectait [« blessait » ?] ses yeux ; au lieu de couvrir la lumière, avec une force irrépressible [placé après ?], je la redescendis pour lui gifler le visage [virgule] jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Sabrina a dit…

J'entendais "passion" dans le sens de "comportement excessif", mais "déchaînement" me plaît beaucoup, donc oui, merci :)
Idem pour "blessait" !

En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; en un instant seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait un tel déchaînement ? Je levai une main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui blessait ses yeux ; au lieu de couvrir la lumière, je la redescendis avec une force irrépressible pour lui gifler le visage, jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Tradabordo a dit…

Déchaînement te plaît beaucoup…………… Ahem ahem……………………

En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; en [je crois que c'est la durée] un instant seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait un tel déchaînement ? Je levai une main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui blessait ses yeux ; au lieu de couvrir [« contrer » ou quelque chose comme ça ?] la lumière, je la redescendis avec une force irrépressible pour lui gifler le visage, jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Sabrina a dit…

Chuuuut, ça reste entre nous hein !! :p

Ma 1ère proposition était "pendant". Je pensais que c'était la durée. Je suis perdue.
Et "cacher" ?

En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; durant un instant seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait un tel déchaînement ? Je levai une main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui blessait ses yeux ; au lieu de cacher la lumière, je la redescendis avec une force irrépressible pour lui gifler le visage, jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

Tradabordo a dit…

En voyant qu'elle tentait de se lever, je la traitai de pute et grimpai sur elle. Elle cessa de résister et se cala bien sur mon rythme. Les lustres suspendus au plafond éclairaient son visage ; durant un instant seulement, je réussis à m'oublier et j'aperçus dans ses yeux un lac, débordant. Aurais-je pu agir autrement ? Qui étais-je ? D'où me venait ce moi, là, par terre ? Au contact du carrelage dur, froid, mes genoux commencèrent à me gêner. D'où sortait un tel déchaînement ? Je levai une main, voulant cacher l'éclat de la lampe qui blessait ses yeux ; au lieu de cacher la lumière, je la redescendis avec une force irrépressible pour lui gifler le visage, jusqu'à ce que je finisse par jouir en elle, dans un cri qui fit écho au sien.

OK.