dimanche 28 février 2016

Projet Justine 7 – titre + phrases 1-2

Francisco Ortega

Setenta y siete


Agosto, 1995.
Independencia, Santiago de Chile.


Conocía cada ruido de la casa: el aletargado crujido de las cañerías durante la noche, ese continuo toqueteo de las ramas del ciruelo, las vigas de la terraza al hincharse con los cambios de temperatura, el marco de las ventanas al ser alcanzado por la primera luz de la mañana... A sus sesenta y cinco años, Elcira Ramírez dominaba tan bien cada sonido de su hogar, que despertó de inmediato cuando un ritmo pesado y cansino empezó a sucederse desde el pasillo de la puerta hacia el interior del primer piso.

Traduction temporaire :


Francisco Ortega
Soixante-dix-sept 

Août, 1995.
Independencia, Santiago du Chili

Elle connaissait chaque bruit de sa maison : le craquement léthargique des canalisations pendant la nuit, le frôlement incessant des branches du prunier, les poutres de la terrasse gonflant au gré des changements de température, le cadre des fenêtres touché par les premières lueurs du matin… À soixante-cinq ans, Elcira Ramírez maîtrisait si bien chaque bruit de son foyer, qu'elle se réveilla immédiatement lorsqu'un rythme pénible et traînant commença à être audible, depuis le couloir de l'entrée jusqu'au premier étage.

4 commentaires:

Justine a dit…

Francisco Ortega
Soixante-dix sept

Août, 1995. Independencia, Santiago du Chili.

Elle connaissait chaque bruit de sa maison : le craquement léthargique des canalisations pendant la nuit, les caresses incessantes des branches du prunier, les poutres de la terrasse, gonflant au gré des changements de température, le cadre des fenêtres touché par les premières lueurs du matin… À soixante-cinq ans, Elcira Ramírez maîtrisait si bien chaque bruit de son foyer, qu'elle se réveilla immédiatement quand un rythme pénible et fatigant commença à se faire entendre, depuis le couloir de l'entrée jusqu'au premier étage.

Tradabordo a dit…

Francisco Ortega
Soixante-dix sept [tiret]

Août, 1995. Independencia, Santiago du Chili.

Elle connaissait chaque bruit de sa maison : le craquement léthargique des canalisations pendant la nuit, les caresses [surtraduit, je pense] incessantes des branches du prunier, les poutres de la terrasse, [sans la virgule] gonflant au gré des changements de température, le cadre des fenêtres touché par les premières lueurs du matin… À soixante-cinq ans, Elcira Ramírez maîtrisait si bien chaque bruit de son foyer, qu'elle se réveilla immédiatement quand [« lorsque » ?] un rythme pénible et fatigant [sûre ?] commença à se faire entendre, [« à être audible » ?] depuis le couloir de l'entrée jusqu'au premier étage.

Justine a dit…

Francisco Ortega
Soixante-dix-sept

Août, 1995. Independencia, Santiago du Chili.

Elle connaissait chaque bruit de sa maison : le craquement léthargique des canalisations pendant la nuit, le frôlement incessant des branches du prunier, les poutres de la terrasse gonflant au gré des changements de température, le cadre des fenêtres touché par les premières lueurs du matin… À soixante-cinq ans, Elcira Ramírez maîtrisait si bien chaque bruit de son foyer, qu'elle se réveilla immédiatement lorsqu'un rythme pénible et traînant commença à être audible, depuis le couloir de l'entrée jusqu'au premier étage.

Tradabordo a dit…

Francisco Ortega
Soixante-dix-sept

Août, 1995. Independencia, Santiago du Chili.

Elle connaissait chaque bruit de sa maison : le craquement léthargique des canalisations pendant la nuit, le frôlement incessant des branches du prunier, les poutres de la terrasse gonflant au gré des changements de température, le cadre des fenêtres touché par les premières lueurs du matin… À soixante-cinq ans, Elcira Ramírez maîtrisait si bien chaque bruit de son foyer, qu'elle se réveilla immédiatement lorsqu'un rythme pénible et traînant commença à être audible, depuis le couloir de l'entrée jusqu'au premier étage.

OK.

Pas là aujourd'hui… alors je te mets plusieurs sections de ce projet… mais attention de rester bien attentive, hein !!!!! Sinon : GROS YEUX, etc.