vendredi 26 février 2016

Projet Sarah / Sarah – phrases 35-43

 Muerte del Caballo

“A veces Susana y yo nos preguntábamos:
-¿Qué será lo más triste? ¿Algo que no tenga nada que ver con la familia, ni con alguien que se vaya o que se muera? ¿Qué sea lo más triste para todos, sin tener ninguna relación con personas?  Susana se quedaba pensativa y luego hacía desfilar un ejército de animales muertos, inundaciones, un rayo adherido a un árbol. Pensábamos en muchas cosas. Las mías eran más simples. Yo me imaginaba los pichones en el suelo, las vacas muertas y olvidadas en el camino, un águila llevándose un cordero, una serpiente enroscada a un caballo, apretando el abrazo hasta asfixiarlo.

Traduction temporaire :


La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela ait de rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

15 commentaires:

Unknown a dit…

La mort du Cheval

"Parfois, Susana et moi nous demandions :
- Qu'est-ce qui sera le plus triste ? Quelque chose qui n'ait rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui parte ou qui meure ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tous, sans aucune relation avec des personnes ? Susana restait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un éclair qui traverse un arbre. Nous pensions à beaucoup de choses. Pour moi c'était plus simple. Moi je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Tradabordo a dit…

La mort du Cheval

"[les guillemets français = « »]Parfois, Susana et moi [virgule] nous [« nous » ?] demandions :
- [les tirets les plus longs pour les dialogues = —] Qu'est-ce qui sera [un vrai futur ou l'hypothèse – j'ai expliqué ça en cours il y a deux ou trois semaines] le plus triste ? Quelque chose qui n'ait rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui parte ou qui meure [j'hésite pour les deux subjonctifs] ? Qu'est-ce qui est [j'hésite sur l'interprétation du début à cause du subj] le plus triste pour tous, sans aucune relation avec des personnes [naturel ? Essayez de bien réfléchir à ce que l'auteur veut dire…] ? Susana restait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un éclair qui traverse [texte ?] un arbre. Nous pensions [ou avec « réfléchir » ?] à beaucoup de choses. Pour moi [virgule] c'était plus simple. Moi [virgule – expliqué en cours mardi ;-)] je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Unknown a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi,nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui serait le plus triste ? Quelque chose qui n'ait rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt et qui soit le plus triste pour tout le monde, sans avoir aucun lien avec qui que ce soit ? Susana restait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un rayon ancré dans un arbre. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Tradabordo a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi,[espace]nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui serait [ou « est » ? Comme vous voulez… Comment le diriez-vous, vous, spontanément ?] le plus triste ? Quelque chose qui n'ait rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt et [vous devriez les deux phrases coupées, comme en V.O.] qui soit le plus triste pour tout le monde, sans avoir aucun lien avec qui que ce soit [dites, vous comprenez quoi, vous, ici ;-) ? Expliquez-moi l'idée] ? Susana restait [« demeurait »] pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un rayon ancré dans un arbre [idem : quelle est l'idée ?]. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Unknown a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans parler des humains [elle veut parler des animaux et non des humains non ?] ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un rayon ancré dans un arbre [là, par contre, je ne saisis pas le sens...]. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Tradabordo a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans parler des humains [elle veut parler des animaux et non des humains non ?] ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un rayon ancré dans un arbre [là, par contre, je ne saisis pas le sens...]. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Je vais quand même demander son avis à Elena. Elle est en Argentine pour quelque temps, mais il y a quand même internet, là-bas. Attendons de voir ce qu'elle dit.

Elena a dit…

sin tener ninguna relación con personas?
"sans que cela soit en rapport avec un quelconque humain"


Susana se quedaba pensativa y luego hacía desfilar un ejército de animales muertos, inundaciones, un rayo adherido a un árbol.

"Un arbre foudroyé"

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Les Sarah ?

Unknown a dit…

Merci beaucoup Elena c'est tout de suite plus clair !

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela ne soit en [je me demande si "que cela ne soit en" est nécessaire ici] rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Tradabordo a dit…

“A veces Susana y yo nos preguntábamos: -¿Qué será lo más triste? ¿Algo que no tenga nada que ver con la familia, ni con alguien que se vaya o que se muera? ¿Qué sea lo más triste para todos, sin tener ninguna relación con personas? Susana se quedaba pensativa y luego hacía desfilar un ejército de animales muertos, inundaciones, un rayo adherido a un árbol. Pensábamos en muchas cosas. Las mías eran más simples. Yo me imaginaba los pichones en el suelo, las vacas muertas y olvidadas en el camino, un águila llevándose un cordero, una serpiente enroscada a un caballo, apretando el abrazo hasta asfixiarlo.

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela ne soit en [je me demande si "que cela ne soit en" est nécessaire ici //// Ça donnerait quoi : « ait un » ?] rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Unknown a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela n'ait de rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Tradabordo a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela n'[supprimez]ait de rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Unknown a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela ait de rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

Tradabordo a dit…

La mort du Cheval

« Parfois, Susana et moi, nous nous demandions :
— Qu'est-ce qui est le plus triste ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec la famille, ni avec quelqu'un qui part ou meurt ? Qu'est-ce qui est le plus triste pour tout le monde, sans que cela ait de rapport avec un quelconque humain ? Susana demeurait pensive puis faisait défiler une armée d'animaux morts, des inondations, un arbre foudroyé. Nous réfléchissions à beaucoup de choses. Pour moi, c'était plus simple. Moi, je m'imaginais les pigeons par terre, les vaches mortes et oubliées sur le chemin, un aigle portant un agneau, un serpent enroulé autour d'un cheval, resserrant son emprise jusqu'à l'asphyxier.

OK.

Sarah ?

Unknown a dit…

Ok !